le 13 janvier, je titrais un de mes billets : « Narbonne ! Municipales2020 : morne campagne… ». J’avais le sentiment en effet qu’y flottait un air d’aimable compétition entre équipes de paisibles ceuilleurs de champignons.
Ben ! voilà donc une liste — la sixième — 100% verte. En attendant la septième, rouge et jaune ? Plus de 200 candidats au statut de conseiller municipal : un record !
S’il y a une chose dont je suis sûr, la seule, dans cette campagne des municipales, c’est qu’à sa sortie, et quel qu’en soit le vainqueur, on ne se trouvera pas dans la situation politique ubuesque de 2014, au demeurant parfaitement légale, où le maire sortant battu — Jacques Bascou —, siégeant dans l’opposition municipale, se vit confier la présidence du Grand Narbonne. Une présidence obtenue, on s’en souvient peut-être, grâce à un concours particulier de circonstances politiques et d’affinités personnelles qui lui ont permis d’obtenir les deux ou trois voix de maires de droite, nécessaires à son élection.
La littérature doit-elle se soucier de ne point heurter la sensibilité des lecteurs ? Aux EtatsUnis, le sujet fait débat et pour éviter des procès en sexisme, racisme, grossophobie, homophobie, et autres phobies culturelles ou religieuses, auteurs et éditeurs font désormais appel — l’auto censure ne suffisant manifestement pas — à des « lecteurs en sensibilité ».
Il fut un temps où il était « interdit d’interdire » ; ce temps était celui de toutes les libérations : des corps et des esprits — accessoirement celui des « classes sociales » — ; en ce temps-là, toutes les morales devaient être abolies : celle du prolo et du bourge réunies ; tout était permis, et seuls comptaient désirs et volonté ; il fallait jouir sans entraves et faire trembler la société ; la nouvelle «police des moeurs» tenait ainsi la Justice d’État en otage ;
Lu dans l’Indépendant du jour : « l’Occitanie résiliente entend proposer un nouveau modèle de développement pour assurer la souveraineté économique, énergétique, sanitaire et alimentaire […]
La pluie tombait. J’étais près de la fenêtre. La rue était vide. Des feuilles mortes couvraient la chaussée, mouillées. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Lu ce matin dans « L’Opinion », un papier très juste d’Antoine Oberdorff. Ce qu’il décrit n’est pas une colère.C’est une convergence. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]
Premier dimanche de Hanouka.Sydney. Une plage.Plus d’un millier de Juifs réunis pour allumer la première bougie.La lumière. Les chants. Les enfants. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime […]
Sur mon fil d’actus Facebook. Lu ce matin cette révélation : nous vivrions dans un « patriarcat acoustique ». Rien que ça. Quinze ans de retard, mais toujours la même ardeur pour débusquer le […]