Bruno Roger-Petit s’indigne de la publicité faite par les médias et leurs journalistes à Éric Zemmour et son dernier ouvrage. Encore une fois pour ce chroniqueur du Nouvel Obs, qui assurément ne sera pas la dernière, tant ce que représente cet auteur à succès le révulse. Mais cependant pas jusqu’à précisément qualifier ce que Zemmour pour lui incarne.
Tous les Samedi, à 9 heures 10, et Dimanche, à 11 heures 10, en rediffusion, sur Grand Sud Radio FM (source), je porte mon « contre-regard », dans Radio Barques, sur l’actualité de Narbonne et sa région.
Le 11 octobre, étaient à l’ordre du jour la situation budgétaire de la Ville de Narbonne, sa biennale internationale de l’aquarelle, le projet de deux gares TGV à Narbonne et Béziers et le cumul de mandat « conjoncturel » d’Éric Andrieu.
La Cour des comptes rend public le 14 octobre 2014 un rapport sur les finances publiques locales, pour la deuxième année consécutive. Fruit d’un travail commun de la Cour et des chambres régionales des comptes (sur la base de 136 contrôles de collectivités), ce rapport vise à analyser la situation financière des collectivités territoriales et de leurs groupements, ainsi que les enjeux qui s’y attachent.
Belle photo dans le Midi Libre! Marc Delpoux , le Directeur de cabinet de Didier Mouly et Bertrand Malquier, son premier adjoint, confortablement installés dans un salon du Parc des sports aménagé dans le style cossu-cosy anglais.
Réformer l’Assurance-chômage en France ? « Il ne doit pas y avoir de tabou ni de posture » sur le sujet, estime le ministre de l’économie, Emmanuel Macron, dans une interview au Journal du dimanche. Une déclaration qui n’a pas plu au premier secrétaire du Parti socialiste (PS), Jean-Christophe Cambadélis, qui a pris le contrepied du ministre dimanche. « La gauche n’a pas de tabous, mais elle a quelques totems, en particulier le fait que quand le président de la République s’exprime, les ministres appliquent », a déclaré le député à son arrivée du conseil national du PS à Paris. Est-ce une fin de non-recevoir à ce chantier ? «Absolument», a tranché M. Cambadélis. Peu importe l’objet de cette passe d’armes entre un ministre et le secrétaire général d’un parti. Les français savent désormais que le gouvernement de la France est sous la tutelle du PS et de Monsieur Cambadélis. Du moins l’affirme-t-il. Nous voilà revenu au temps de la quatrième République quand le plus grand désordre régnait. Ne manquait plus que ce genre de « bêtise » pour en rajouter. Le plus curieux est que personne, dans les milieux autorisés, ne s’en offusque. Comme si violer l’esprit même de nos institutions, pour le parti du Président et de son premier ministre, allait de soi , était d’une grande banalité. J’attends avec impatience et curiosité la réaction de Manuel Valls…