Les « collabos », ce terme infâme dont on affuble aujourd’hui les vaccinés favorables aux mesures annoncées par le Président de la République, étaient, à l’inverse de ceux qui se présentent aujourd’hui comme des « résistants », aux côtés de ceux qui, venus de l’étranger, voulaient en finir radicalement avec leur civilisation, diffusaient le virus mortifère nazi et orchestraient l’extermination des juifs…
J’écris sur cette page depuis maintenant quelques années. Certains jours, je me dis qu’il faudrait arrêter. Pourquoi ? Je n’en sais trop rien. Un peu de lassitude ! Un ennui dont je sors assez vite cependant.
On dit souvent de nos enfants et petits enfants « qu’ils font des caprices », les « intéressants » ; qu’ils cherchent toujours à « attirer l’attention » : par des pitreries ou en faisant des bêtises.
Il est avéré que, selon le principe d’incertitude d’Heisenberg, (dont je ne puis évidemment douter), le vide est un plein d’énergie, a un poids. Ce qui semble définitivement admis par la théorie physique, l’est- il donc aussi en sciences humaines, songeais–je ? Une pensée, une proposition, un discours, une campagne électorale, une installation « artistique », enfin, vide de sens, par exemple, aurait-elle un poids, une « valeur » – marchande ! – ? À l’épreuve de l’expérience empirique la plus banale, indubitablement ! Impossible en effet de s’en débarrasser : le vide emplit notre quotidien, nos vies… Et, parfois, souvent en vérité, je l’avoue, il me pèse… Mais à un point ! Si vous saviez !
Mercredi matin, je dirai solennellement à la responsable d’accueil du service de chirurgie ambulatoire de l’hôpital public, et en présence d’un huissier de justice par moi officiellement requis, que j’ai décidé de résilier une bonne fois pour toutes, mon abonnement dans son service, service dont je m’empresse toutefois de signaler l’excellence de ses prestations et le grand professionnalisme de ses agents – là n’est pas la question !