Régis Banquet, le Président de Carcassonne Agglo, veut creuser un « sillon de Toulouse à la mer »…
Mais qu’est-ce donc que cette initiative lancée à grands coups de tambourin médiatique par Régis Banquet, le Président de Carcassonne Agglo ?
Mais qu’est-ce donc que cette initiative lancée à grands coups de tambourin médiatique par Régis Banquet, le Président de Carcassonne Agglo ?
Feu le crématorium de Montredon ! Mort avant terme dans les bras de Monsieur Mellet, son maire d’alors qui, en sus, vice-présidait et veillait au Grand Narbonne à l’avenir et aux intérêts du service communautaire des pompes funèbres.
L’information n’est pas parvenue, à ce jour il me semble, jusque dans les rédactions audoises de l’Indépendant – ou l’aurais-je inconsciemment « manquée » ?! –, alors qu’elle me semble pourtant d’un très grand intérêt politique régional et local. Qu’on en juge !
Dans une lettre au vitriol adressée le 4 février à Carole Delga, l’avocat toulousain Christophe Léguevaques attaque le contrat de concession que la Présidente de la Région Occitanie a signé, juste avant Noël, avec la société d’économie mixte Nou Vela * pour gérer les futures installations portuaires de Port-La-Nouvelle (PLN) ; et ce pendant 40 ans.
Dans l’actualité, une chose étonne et me ravit : la condescendance mêlée de sarcasme et de mépris des spécialistes du bavardage politique : journalistes, politologues, intellectuels « engagés », notamment, envers un Premier Ministre, dont les exposés et propos publics, sont par eux jugés trop simples, trop clairs, trop serrés, trop tranchés, trop « accentués » et donc forcément très nuls ; à l’inverse des leurs, brillamment lisses, fumeux et dérisoires, quant ils ne sont pas franchement insultants. Car dans ce pays et pour ces maîtres en éloquence, comme on le sait, l’obscur, le négligé et le pathétique, en tous domaines, sont les incontestables attributs de l’élégance et de la vérité…
L’exaspération de politiques, « philosophes » de plateaux, intellectuels bouvardiens, nouvellistes nécrophiles et médias putassiers qui, hier, pariaient sur un confinement dont ils ne voulaient pourtant pas et qui nous expliquent aujourd’hui avec des tremblements dans la voix qu’il s’imposait pourtant à chacun d’entre nous ; leur exaspération, donc, disais-je, m’amuse, me réjouit… et m’enchante au delà de ce que je pouvais imaginer en ce début de matinée particulièrement venteux…