Parler, écrire, c’est creuser dans le silence ; chaque mot, chaque phrase est une main tendue vers qui attend d’être reconnu – nommé. C’est mettre de l’ordre dans le chaos du monde ; sortir de l’effroi, retrouver la paix ; c’est enlever les masques d’hypocrisie collés aux lèvres des entrepreneurs de la haine – où qu’ils soient, d’où qu’ils viennent ! Dévoiler leurs fausses paroles, leurs faux serments…
Aussi loin que je me souvienne, lors du passage d’une année à une autre, je n’ai jamais sauté de joie sous des nuages de confettis, des cascades de serpentins ; porté des bonnets pointus, soufflé dans des trompettes en carton ; bu du champagne amer et frelaté ; embrassé des inconnus au resto, dans la rue ; souhaité des « bonne et joyeuse année ! » à des hôtes avinés ; regardé les bêtisiers des journaux télévisés, écouté les voeux des hommes et des femmes de l’année…
Julien finissait de mettre à couvert son véhicule quand il reçut un SMS de Cameron l’informant des initiatives prises par Marie. Elle était donc à Nîmes ! 6 ans déjà qu’avec elle, Jo et Boris tous quatre formaient une équipe agile et solide capable de résoudre toutes sortes « d’affaires » sensibles.
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Merci donc à tous ceux qui trouvent de l’intérêt et/ou du plaisir à me lire.
La voix de Joseph Cameron, tendre et ferme à la fois, toujours la bouleversait. Marie avait le sentiment à l’entendre, que rien en mal ne pouvait l’atteindre. Trois mots de Jo, et la morale commune, le souci des convenances sociales , la peur n’exerçaient plus aucun pouvoir sur ses intentions, comme sur ses actes.
Ve 24.1.2025 Chaque mardi et mercredi, une atmosphère singulière flotte dans les allées de ce magasin à libre-service. Loin de l’agitation habituelle des fins de semaine, elles ne sont empruntées que […]
Me 22.1.2025 Cinéma. Dimanche, à 15 heures, ai vu, au Théâtre + Cinéma – scène nationale Grand Narbonne, le dernier film de Walter Salles : Je suis toujours là. Un grand film qui m’a incité à […]