Bien que Joseph ai décidé de ne plus se laisser atteindre par les vagues d’infos qui nous tombent incessamment sur la tête et nous noient le cerveau, il ne pouvait échapper cependant à son petit bain quotidien dans cet océan de nouvelles terrifiantes et d’une abyssale niaiserie, où surnagent parfois de trop rares et stimulantes réflexions et quelques bonnes et saines vérités, me disait-il.
Quand même, qu’est ce que c’est c.. la com ! C.. et cher à la fois ! Et toute cette bêtise, et tout ce ridicule pour ce grotesque néologisme et cette arrogante injonction : « devenez occitarien ». Nous avions dans ce registre folklorique à deux balles : « Parisien tête de chien » ! Par madame Delga, ils auront en retour : « Occitarien, bon à rien ». C’est ainsi que Carole est grande !
Provocation et victimisation sont désormais les deux mamelles d’une France devenue spectacle permanent ; et l’Homme « libre et autonome », au sens où le définissaient les « Modernes », n’est plus que le simple rouage de la machinerie communicationnelle : image lui-même s’auto célébrant dans le flux continu de leur production quotidienne.
Mardi.
Égoïsme social.
J’ai coupé sons et images et m’en suis allé tailler ma haie, arracher les mauvaises herbes, bichonner les fleurs ayant résisté à un hiver pluvieux, pour enfin finir par nettoyer au karcher les extérieurs de ma « cabane au bord de l’eau ». J’ai ensuite rejoint la plage – à pied – , me suis assis sur le sable, ai regardé l’inlassable mouvement des vagues – comme la vie, toujours recommencée. Le ciel était bleu et le silence parfait…
On me reproche en ce temps agité un manque de générosité pour ne pas m’exprimer et me répandre en de pompeuses manifestations de soutien aux actions et procès médiatiques quotidiens des activistes de « l’identité offensée » prétendument victimes d’un racisme institutionnel et/ou systémique quand j’aimerais dire à quel point tout ce spectaculaire cirque me fatigue – me fatigue, mais pas au point cependant de devoir plier les genoux.
Pour la première fois depuis de longues semaines, j’ai pu traverser le jardin de la Révolution qui jusqu’ici était fermé au public, pour les raisons que l’on sait. Comme d’habitude je suis allé directement à la « boîte à livres » pour y jeter un rapide coup d’oeil.
Ve 24.1.2025 Chaque mardi et mercredi, une atmosphère singulière flotte dans les allées de ce magasin à libre-service. Loin de l’agitation habituelle des fins de semaine, elles ne sont empruntées que […]
Me 22.1.2025 Cinéma. Dimanche, à 15 heures, ai vu, au Théâtre + Cinéma – scène nationale Grand Narbonne, le dernier film de Walter Salles : Je suis toujours là. Un grand film qui m’a incité à […]