À rebours de quelques « clichés » sur l’île de Saint Barthélemy, après Irma…

   

Photo : Le Parisien.

   

Comme il s’écrit à peu près n’importe quoi dans certains médias (pire sur les réseaux sociaux!) sur Saint-Barthélemy : « repaire de milliardaires », un « paradis fiscal » dont les habitants « vivent souvent dans des villas cossues », une petite mise au point me semble nécessaire. Surtout dans les conditions actuelles où beaucoup se plaisent à faire des confusions « déplorables entre les milliardaires propriétaires de villas, qui n’y vivent pas, et les habitants de Saint-Barthélemy, qui y travaillent parfois durement et dont les maisons, souvent loin d’être cossues, ont été dévastées par Irma. » 

Petites et grandes – sans ironie ! – manœuvres du PRG en Région Occitanie, et ailleurs

Monsieur Baylet et Mesdames Rozière, Pinel et Brutus.

 

Dans la plus grande discrétion, – c’est une constance, un élément doctrinal pour ne pas dire un principe philosophique… – , les radicaux de gauche et de droite oeuvrent efficacement à une « fusion » politique qui devrait leur permettre de constituer,  dans les semaines qui viennent, un groupe parlementaire commun et bénéficier, de ce fait, de tous les moyens financiers et humains nécessaires à son expression publique. Une « force » politique (nulle ironie dans mon propos) « nouvelle » issue de la décomposition des « vieux partis » consécutive à leur défaite présidentielle et législative ; un apport bienvenu qui viendra renforcer la majorité gouvernementale du Président Macron.

La DGS de la Ville « libérée » par un Didier Mouly inquiet pour ses « emplois aidés »…

Carillon de l’Hôtel de Ville de Narbonne.

     

Eh bien voilà, c’est fait !  Didier Mouly s’inquiète pour ses emplois aidés, et le fait savoir par écrit à la ministre concernée, quand son adjoint Jean Paul César, en filloniste déclaré, mais bien muet, devrait au contraire s’en réjouir – son candidat à la présidentielle les voulait en effet supprimer.

Ce que cache la guerre des containeurs d’ordures ménagères entre Sébastien Pla et José Puig…

     

José Puig-Sébastien Pla

   

Pour une banale affaire de bennes à ordures ménagères, mais débordantes, il est vrai, installées dans sa commune de Duilhac-sous-Peyrepertuse (149 habitants, dans l’Aude) sur un point de collecte « situé à proximité d’un  important axe de passage touristique (50 000 visiteurs l’été) », Sébastien Pla, son maire, par ailleurs président de la commission tourisme de la Région Occitanie-Pyrénées-Méditerranée, vient d’envoyer à José Puig, son collègue maire de Claira (4000 habitants, dans les P.O) et Président de la Communauté de communes Corbières Salanque Méditerranée, dont sa commune est membre, une lettre au « canon » dans laquelle il lui demande d’aller « jusqu’au bout de son raisonnement et de demander à l’État de réviser le périmètre de cette intercommunalité ».

Le New York Times, à propos d’Emmanuel Macron, instrumentalisé par les médias français !

Il y a  quand même quelque chose de pervers dans ce monde des médias. Dernier exemple en date de détournement massif de l’information et de sa manipulation, la pseudo « tribune au vitriol du New York Times qui juge Emmanuel Macron comme un président raté » (titre de la Dépêche du Midi).

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