Il serait quand même temps que le discours public et politique sur la transition écologique, la protection de l’environnement, la lutte contre le réchauffement climatique abandonne ses références doctrinales « anti libérale ». Laisser croire, à gauche et chez les Verts (français j’entends), qu’il suffirait de supprimer l’économie de marché pour solutionner tous les problèmes environnementaux posés par l’accroissement de la population mondiale et la réduction des inégalités économiques et sociales entre pays et habitants de cette planète, est, en effet, totalement illusoire.
La question qui, aujourd’hui, est posée dans le débat public, n’est pas celle, démagogique, de la suppression* de l’ENA, mais celle du mode de recrutement de l’élite administrative et de sa formation ; de son organisation en « corps » ensuite et, de manière plus générale, du déroulement des carrières de ceux qui en sortent…
L’hiver est fini ! Mais l’atmosphère politique et sociale est toujours aussi lourde. La haine s’exprime sans retenue. Et pas seulement dans la rue. Dans les médias, les journaux, les « tribunes » ; les mot et les « poses » aussi. Le mince vernis de civilité qui couvre notre « bien commun » craque de toute part sous la poussée de passions politiques délirantes.
Une étude du cabinet d’analyse BL Évolution présente les mesures concrètes à mettre en œuvre en France pour qu’elle s’aligne sur une trajectoire de réchauffement de 1,5°C, et donc diminuer de 63% les émissions de CO2 entre 2017 et 2030.
L’Institut Montaigne vient de livrer son dernier baromètre des territoires. Un coup de projecteur sur la région Occitanie y figure en bonne place. Et l’image qui apparaît, à mille lieux de la communication de l’institution régionale, est fort instructive.
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]