LREM et les « Gilets Jaunes » : des « jumeaux » paradoxaux !

Quelques remarques, en vrac, pour m’aider à comprendre quel sens à donner à ce mouvement dit des « Gilets Jaunes » (« GJ »)

Quelques remarques, en vrac, pour m’aider à comprendre quel sens à donner à ce mouvement dit des « Gilets Jaunes » (« GJ »)

Comme dans toute crise sociale et politique de grande ampleur, les éléments d’une sortie positive, au sens d’un ajustement profitable à tous des rapports entre les citoyens et leurs représentants, s’expriment dans le mouvement dit des « Gilets Jaunes ». Au fond, c’est le rapport à l’impôt, aux prélèvements obligatoires plus généralement, à leur affectation et finalement à leur mode de gestion que soulève une « classe moyenne » préssurée de toutes parts
« Une sociologie paresseuse incrimine la crise économique, les inégalités, les fractures sociales » pour expliquer la montée et l’installation au pouvoir de partis « populistes » un peu partout dans le monde ; et en Europe…
À l’origine, il y a Bernard et Marie. Ils forment un couple et ont deux enfants. Puis Bernard, tout en conservant les attributs et la « puissance d’agir » d’un mâle, donc d’un homme, devient Claire. Le couple reste toutefois uni et entreprend de « faire » un troisième enfant.
La presse est friande d’informations bruyantes, tapageuses, voire « scandaleuses ». Est-ce nouveau ? Non ! (Émile Zola, dans le Figaro du 24.11.1888 – son supplément littéraire –, analysait déjà, et brillamment, ce phénomène : voir ci-dessous des extraits de son article).