Jean Paul César, l’adjoint de Didier Mouly, démissionne… mais de l’Office de tourisme du Grand Narbonne seulement !


Affaire terminée pour Jean Paul César, l’adjoint de Didier Mouly ? Ses mandats municipaux et communautaires, qui étaient jugés par l’État incompatibles avec ses fonctions de directeur adjoint de l’Office de Tourisme du Grand Narbonne,  lui sont désormais définitivement acquis jusqu’en  2020. En effet, dans le cadre d’une procédure de « rupture conventionnelle » négociée avec Didier Codorniou, son « patron », il quittera ses fonctions, dès le 15 mai.

Madame Garbay, adjointe, « en surcharge !!! », virée de sa fonction par Didier Mouly…


Conseil municipal hier ! À son ordre du jour, une délibération demandant aux élus  municipaux le retrait des fonctions d’adjointe au maire de Marie-Noëlle Garbay. Celui de sa délégation  l’est déjà et ne nécessite pas un vote du conseil municipal. Il n’a pas à être motivée, en effet, sous la seule réserve, toutefois, que sa décision ne soit pas inspirée par « des motifs étrangers à la bonne marche de l’administration communale ». Or il est de notoriété publique qu’elle l’est, inspirée, par des motifs strictement politiques.

Dans l’Aude, quel paysage politique aux législatives de juin dans les trois circonscriptions ?

Illustration France Info (ici)


Le Monde publie une infographie très intéressante qui donne une idée de ce à quoi pourrait ressembler le paysage politique audois au soir du 18 juin. Avec quatre blocs très proches en nombre de voix au premier tour de la présidentielle – En marche ! (EM) le Front national (FN), Les Républicains (LR) et La France insoumise (FI) –, même avec 40 % d’abstention, en « projetant » les résultats du premier tour il pourrait y avoir trois triangulaires – 82 triangulaires en France ! Des triangulaires qui sont le moyen pour le Front national d’accéder à la victoire sans avoir besoin de plus de la moitié des voix.

Carte postale ! Madame Serres, 105 ans, ma voisine, a voté…

IMG_0043.jpg


Dimanche électoral ! Au pied de la passerelle entre deux villes, rive droite, côté Bourg, j’aborde madame Serres, ma voisine, 105 ans passés de quelques semaines déjà. Soutenue par Marie-Jo, elle me dit avoir fait son devoir de citoyenne, qu’elle était fatiguée et pressée de rentrer chez elle…

Hamon ! Ô Toulouse, ville rose, qu’il est loin mon pays…


Comme ses prédécesseurs candidats à la présidentielle, Mitterrand, Jospin et Hollande, Benoît Hamon a tenu son dernier meeting mardi soir à Toulouse. Il paraît que c’est dans la « ville rose » qu’on « vient chercher l’ultime énergie »  –  c’est Benoît  qui l’affirme ! Ultime énergie qui l’on pourrait qualifier, si l’on en croit les sondages, du désespoir. Ou plutôt du dernier espoir : l’improbable, l’impensable : celui de figurer au deuxième tour de la présidentielle.

Articles récents