Dans l’Indépendant, toujours bien informé, « hier », le trou financier du RCNM était de 700 000€ et la relégation quasi certifiée, aujourd’hui, il n’avoisinerait, selon ses sources, que 300 000€, et la descente en Fédérale moins assurée. Pour ne pas dire improbable – la relégation! Ce qui est plus sérieux. Un « proche du dossier », auquel se réfère le rédacteur de cet article, n’affirme -t-il pas en effet que : « Certains clubs affichent en fin de saison des pertes bien plus importantes mais ces clubs ont à leur tête des présidents capables d’apporter des garanties et de rassurer le DNACG« .
Dans les rayons de supermarchés, sur nos écrans de télé, nos ondes, nos journaux, nos ordinateurs, nos tablettes, nos boîtes de courriel, nos verres de bière, nos tasses de café – comme celle dans laquelle me fut servi un « expresso » à la terrasse du si bien-nommé Petit Moka, hier, à Narbonne – nos paysages, urbains et ruraux, nos routes, nos cartes de crédit, nos boîtes aux lettres, nos vêtements… , partout et toujours la publicité s’immisce, s’impose, s’incruste, s’enracine…
Comme tout territoire, Narbonne n’est pas entièrement lisse et homogène. Au contraire, c’est un agrégat de quartiers, d’ îlots qui ont leur histoire, leur style ainsi que leurs frontières invisibles. Promenez-vous par exemple rue Cabirol, puis bifurquez sur la place Cassaignol : vous avez traversé un espace très bref et vous voilà dans un changement total d’ambiance visuelle et sonore. Il y a comme bio-diversité appliquée à la Ville, où ce ne sont plus les espèces mais les espaces qui apparaissent, se développent, et où d’autres sont menacés ou en voie d’extinction.
L’Hacienda, orthographiée avec la cédille, désigne le mythique club ouvert en 1982 à Manchester, qui fit émerger la techno et la house music en Europe. Fermée en 1997, elle fut détruite en 2002, mais reste une indépassable référence pour la pop culture.
Le MRAC de Sérignan a décidé de rendre hommage à l’imaginaire de l’Haçienda en invitant l’artiste montpelliérain Bruno Peinado, dont c’est la première exposition solo dans le Sud de la France.
Cela commence à devenir très pénible. Je sais bien que le climat est au pessimisme social, mais nier certains faits ou les édulcorer n’est pas la meilleure des manières pour faire remonter la courbe de confiance des français, et des audois en particulier. Depuis quelques mois, en effet, je ne compte plus le nombre d’articles parus dans la presse locale qui tendent à montrer une économie départementale « montrant des signes positifs de reprise » et une trajectoire baissière des statistiques du chômage.
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]
Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]