Dans l’Indépendant, de ce Dimanche, un article, sans fond ni « recul critique », sur les relations entre R.Elsom, le patron du RCNM, et D.Mouly, le patron de la Ville de Narbonne. Du même « tonneau » que ceux antérieurement consacrés à la farce orientale scénarisée par monsieur Ysern, père. Article qui ne fait état que des propos censés avoir été tenus par notre premier magistrat, si j’en crois le rédacteur de ce « papier », ou d’un intermédiaire « assermenté », lors de leur dernière rencontre.
Voilà un transfert de compétences (1) vers le Grand Narbonne, très intéressant. De quoi s’agit-il? De la gestion des milieux aquatiques et de laprévention des risques d’inondations. Actuellement, elle est gérée, pour ce qui concerne le bassin de la Berre et du Rieu, par un syndicat mixte. Un syndicat dont le budget est alimenté par les contributions des communes membres, dont Sigean.
« Bombe fiscale » et ciblage nominatif public des élus communautaires narbonnais ayant voté pour les nouveaux taux d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM)! Ne manquait plus, dans ce placard publicitaire de Nouveau Narbonne, qu’un fusil à lunette pour mieux viser ces derniers. Un coup de « com », iconographiquement d’inspiration Ménardienne. Du jaune pour l’infamie, du rouge pour la colère et le mal, du noir pour le malheur… Question: demain, des poternes symboliques seront-elles dressées place de l’Hôtel de Ville? Passons, vite! Et classons verticalement. Direction: poubelle!…
Gauthier Langlois, vient de publier un excellent article sur les différents enjeux des différentes appellations proposées au débat public par la Région LRMP. Il fait en effet observer que:
Une centaine de viticulteurs de l’Aude, rejoints par des Catalans au péage nord de l’A9 à Perpignan, sont partis, ce lundi matin, en caravane, pour se diriger vers « Le Boulou ». Pas en touristes, ni pour y faire une cure de son eau, mais pour y vider, nous dit-on, les citernes de vins véhiculés par des camions espagnols.
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]