Dans LADEPECHE.fr du 28 décembre 2014, André Viola, le président socialiste du Département de l’Aude, expose les raisons de son soutien, il est vrai constant, au projet de fusion des deux régions Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées, alors que bon nombre d’élus du Languedoc, et tous les élus, sans exception, du Conseil Régional , du Président socialiste jusqu’au élus frontistes étaient contre. Il y montre notamment l’intérêt pour l’Aude de se retrouver géographiquement en position plus centrée dans les nouvelles frontières administratives. Mais en en surestimant considérablement les effets économiques , du point de vue de la création de valeur, ou de richesses, si l’on préfère.
Dans cette première partie de l’émission de Radio Barques du 27 décembre, il est question du « langage » de nos élus au Grand Narbonne et à Nouveau Narbonne, du Pont de la route de Carcassonne et de certaines propositions « explosives »…
Dans cette deuxième partie de l’émission de Radio Barques du 27 décembre, il est question du Midi Libre et de Manuel Cudel, du collège Maintenon de Perpignan et d’un article de l’Indépendant, de Manuel Valls et de la remise de la légion d’honneur, par lui même, à Philippe Saurel, à Montpellier …
La guerre était jusqu’ici navale et sous marine, elle est désormais terrestre et ouverte. Après une première tentative, avortée, de sabotage par une « taupe » ennemie, un lourd missile à tête chercheuse vient d’être lancé du « Palais » sur la Société Nautique de Narbonne, qui gère le petit port de la Nautique, et son Président, Jacques Heurley. L’objectif visé étant la destruction du projet initié sous la mandature Bascou, projet consistant à confier l’aménagement et la gestion de l’ancien «Club House» : le Pavillon si bien nommé, à un professionnel de la restauration.
Lundi matin, le maire, Didier Mouly, le président de l’Agglo, Jacques Bascou, le conseiller général Patrick François, le président de la CCI, Patrick Ballester et celui du tribunal de commerce, Jean-Paul Fourneau étaient tous « sur le pont » face à des commerçants, artisans et libéraux en colère. Installés aux abords du pont de Carcassonne, le préfet vient de leur couper les ponts en fermant le leur à la libre circulation . Trois ans de travaux seraient nécessaires pour en jeter un nouveau sur les voies de chemins de fer qu’il enjambe! Afin de gagner six mois de délai, les commerçants concernés ont suggéré, dans un élan de grande portée intellectuelle, comme on jette un pont sur du sable, de faire sauter celui qui les prend en otages sur les voies SNCF, tout en invoquant le ciel – qui d’autre pourrait les entendre – afin qu’il s’écroule « naturellement » sur elles le plus vite possible.