Chronique de Narbonne, et d’ailleurs. Du langage salé à la communication institutionnelle du Grand Narbonne

grand narbonne

Monsieur Ortiz est Vice-Président du Grand Narbonne. Dans le privé, il officie dans une agence bancaire. N’étant pas de sa « clientèle », je ne peux rien dire de son comportement à son égard. Mais du « Ta gueule » adressé à Gérard Schivardi, lors de la dernière session du conseil communautaire, j’en aurai aussitôt retiré mon compte et le reste. Ce ne sont pas des manières! Faut dire, à son crédit, si je puis dire, que son Président Jacques Bascou lui avait tendu le godet : « Ce n’est pas un forum ou le comptoir d’un bistrot, ici, bordel! ». Un langage finalement accordé – pour le justifier peut-être? –  à  l’objet de ce vulgaire échange, à savoir le recrutement d’un(e) directeur (trice) de la communication; et à cette occasion donner au corps de leur institution une très vilaine… image!

Mes Contre-Regards de la semaine sur Grand Sud FM (20 décembre 2014: première partie)

santo grand sud fm Dans cette première partie de l’émission de Radio Barques du 20 décembre, il est question du RCNM et des rencontres  des maires de Narbonne et de Béziers…

Mes Contre-Regards de la semaine sur Grand Sud FM (20 décembre 2014: deuxième partie)

santo grand sud fmDans cette deuxième partie de l’émission de Radio Barques du 20 décembre, il est question du Pont de Carcassonne et du « conflit »  opposant Didier Mouly, le maire  de Narbonne, et Monsieur Julès, son conseiller municipal membre de sa majorité…

Chronique de Narbonne et d’ailleurs: des statues et des hommes…

HUBERT MOULY MAIRE NARBONNE

Je n’ai rien contre l’art statuaire en général, mais je dois néanmoins confesser une profonde et définitive  allergie à ces bronzes en pieds de personnages publics coulés et érigés aujourd’hui dans nos cités au lendemain de leur mort. Je croyais cette forme de glorification et d’édification des «peuples» définitivement abandonnée, et la voilà qui paradoxalement ressurgit dans nos petites villes de province. En l’occurence la mienne. Les amis et les proches de Georges Frêche furent les premiers à inaugurer cette forme régionale d’idolâtrie politique qui, comme dans tous les cultes, élève le défunt au rang d’oeuvre d’art traversant les siècles. À Montpellier, on distribue même, chaque année anniversaire, un prix à l’effigie de celui qui ne fut pourtant que le maire de Montpellier et le Président d’un Conseil Régional.  Toute une tradition politique fondée sur la seule autorité d’un homme, dont les prosélytes invoquent régulièrement la puissance quasi divinatoire de son esprit et de son action.

Chronique de Narbonne. Des « cantonales » en mars 2015 toujours aussi baroques (suite)

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Quelles sont les intentions de l’UMP, à défaut d’ambitions, sur Narbonne et ses cantons en 2015? Si la réponse de ses représentants officiels se fait attendre, celle du président des « jeunes populaires », elle, est à présent connue. A-t-il un mandat pour ce faire, je n’en sais rien; mais, sur son carton d’invitation, il nous fait savoir, qu’à l’occasion de sa petite fête de Noël, chez Co – la brasserie – Monsieur César et Madame Abed, conseillers Nouveau Narbonne et candidats de Didier Mouly aux cantonales de mars prochain, seront par lui adoubés. Un acte évident de dissidence envers son propre parti; et ce dans un contexte où tout se passe comme si « personne » ne tenait plus l’UMP sur Narbonne.