Notes « jetées » sur ma page Facebook…

 

21 heures, hier, plage des Ayguades, Gruissan.

 

Parmi les notes prises dans le Monsieur Teste de Paul Valéry, celle-ci : « Nous vivons bien à l’aise, chacun dans son absurdité, comme poissons dans l’eau, et nous ne percevons jamais que par un accident tout ce que contient de stupidités l’existence d’une personne raisonnable. Nous ne pensons jamais que ce que nous pensons nous cache ce que nous sommes. »

21 heures ! Je pensais à E.Hopper, me promenant sur la plage des Ayguades, et me disais que ceux qui souvent le présentent comme le peintre de la solitude névrotique typiquement américaine, n’avait décidément rien compris de ses véritables intentions …

Mes idées : progressistes ! Mes convictions : humanistes et sociales ! Mes valeurs : républicaines ! Où que je me tourne, rarement pour être honnête, je ne lis et n’entends, dans cet après municipales, que ces mots lessivés par la machinerie du pouvoir et l’industrie de la communication, au point de ne plus pouvoir rien dire, de sonner désespérément creux ; de révéler aussi, par un effet tout aussi paradoxal qu’heureux, la vanité et le ridicule grandiloquents de leurs auteurs, comme dans la déclaration de ce jeune ambitieux au verbe ancien d’une grande métropole, que je viens de lire à l’instant par le plus grand des hasards, battu, mais bien décidé à faire carrière et le faisant complaisamment savoir …

Les vraies raisons de l’échec de N.E.C ne sont pas à chercher du côté de Robin(es)…

 
Masques de théâtre tragique et comique.

Je lis ici ou là sur les réseaux sociaux notamment, des critiques au vitriol de militants et sympathisants  de la liste Ps et PCF, pour l’essentiel, conduite par Nicolas Sainte Cluque (NEC), que relaient aussi certains soutiens de celle menée par Viviane Thivent, les Robin(es).

À quoi bon ces votations archaïques et magiques !

Dire de Joseph qu’il méprise le cirque politique serait mal le connaître. Il appartient en effet à cette génération qui, par réflexe, se déplace encore pour aller voter et ne manque jamais de réfléchir, à l’occasion, aux grands et petits enjeux de la vie politique nationale et locale.

Occitarien, bon à rien

Quand même, qu’est ce que c’est c.. la com ! C.. et cher à la fois ! Et toute cette bêtise,  et  tout ce ridicule pour ce grotesque néologisme et cette arrogante injonction  : « devenez occitarien ».  Nous avions dans ce registre folklorique à deux balles :  « Parisien tête de chien » ! Par madame Delga, ils auront en retour  : « Occitarien, bon à rien ». C’est ainsi que Carole est grande !

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