Sur le chemin des Halles, ce matin, – j’allais faire mes courses – , deux de mes amis m’ont gentiment interpellé. Ils buvaient un café à la terrasse du « Centaurée » ; et m’ont proposé d’en boire un avec eux. J’ai aussitôt accepté.
Devant chez moi, un gros chantier de rénovation urbaine : réfection et embellissement des trottoirs, chaussées et places du quartier délimité par précisément la place des Quatre Fontaines, l’ancienne Place au Blé et la rue des Trois Pigeons. Depuis quelques jours, et pendant encore quelques semaines, ces voies de circulations, ces espaces d’agréments et de stationnement ne sont plus.
Et si Bertrand Malquier n’était plus candidat à la présidence du Grand Narbonne ? La question est rhétorique, évidemment, et la phrase faussement interrogative. Bertrand Malquier n’est donc plus candidat à la présidence du Grand Narbonne.
Le député du Rassemblement national, Louis Aliot, qui brigue la mairie de Perpignan, était avant-hier dans notre cité. Il répondait à l’invitation de Monsieur Daraud, qui lui brigue celle de Narbonne. Une photo publiée dans l’Indépendant les montre ainsi en conférence de presse, sagement assis devant une table, côte à côte, concentrés.
Et de huit ! Qui ? Un nommé Perello ! Son programme : « le plus plus gros » de tous les temps. Avec, en tête de gondole, une faculté de médecine ; la création de 10 000 emplois nets ; des policiers municipaux en 3/8 sept jours sur sept ; des caméras de vidéoprotection et du photovoltaïque partout ; la transformaion des conteneurs à ordures ménagères en guichets de banques ; la récupération de la compétence eau etc. C’est fou, non ? Ne manquent à ce programme paranoïde que la création d’un aéroport international sur une île artificielle et celle d’un port en eau profonde à Narbonne-Plage. Au fou ! Jordan Perello le sait *. Accordons-lui au moins cette vertu : son auto-diagnostic est bon !
* Dans l’Indépendant : « Certains nous traiterons de fous »
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]
Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]