Des vignobles vallonnés à perte de vue. Des propriétés de charme. Des caves fraîches où l’on déguste des nectars… le tourisme œnologique ne date pas d’hier. Nombreux sont les connaisseurs qui visitent régulièrement les caves afin de dénicher à bon prix les bouteilles qui, le temps venu, orneront leurs tables. Mais cet œnotourisme traditionnel est aujourd’hui en pleine révolution. Objectif : conquérir de nouveaux publics, plus jeunes, plus internationaux, susceptibles d’apporter aux régions viticoles des compléments de revenu particulièrement précieux dans un temps où la consommation de vin a tendance à stagner et où la concurrence s’exacerbe.
C’est un café à l’ancienne en plein coeur du village. Son intérieur est celui d’un bateau. Sobre. Comme ceux qui naviguent au loin. Sa terrasse, à angle droit, s’étend sur les trottoirs de la place du maréchal Joffre. Elle ouvre sur la rue de la République, en face, et sur la Grande Rue, côté droit, qui mène, d’un trait, à l’église, située au pied de la tour Barberousse. Rue Espert, à une dizaine de mètres environ, on trouve son « concurrent » : le Joffre. Un condensé symbolique de la grande histoire…
Je mettais mon dernier billet en ligne – hier soir très tard – que le service abonnement de l’Indépendant me signalait la parution de l’édition du lendemain avec cetteénigmatique – et ambigüe – accroche en page d’ouverture – si je puis dire – : « Une paire Garbay Sainte-Cluque ? ». Le qualificatif manquant – pour la paire – je suis donc allé voir dans la boutique du nouvelliste de garde ce qui m’était vendu là nuitamment.
Fin de l’insupportable attente. Sur la Place du Forum (évidemment !) le voile a été enfin levé sur cet énigmatique code romain XXI placardé par les « marcheurs locaux » sur leurs pages Facebook, notamment, lors d’une cérémonie initiatique où les officiants étaient rassemblés sous la croix archiépiscopale du lieu, autour de David Granel –– qui sera, comme je l’ai annoncé ici même depuis plusieurs jours la tête de liste de la REM aux prochaines municipales.
Monsieur Daraud sera donc la tête de liste du Rassemblement Bleu Marine à Narbonne, lors des prochaines élections municipales. Comme dirait mon voisin, fin psychologue : « il a une bonne bouille, on dirait un représentant de commerce du genre à fourguer des parapluies sans manches à Aurillac. » Une impression que ses costumes d’employés de préfecture, bleu, mais pâle, et ses cravates, dans le même ton, suscitent tout en donnant au personnage des airs de pasteur évangéliste américain.
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Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]