C’est un rassemblement inhabituel devant l’entrée de l’Hôtel de Ville, jeudi, qui m’a incité à monter jusqu’à la salle des Synodes où devait se réunir un conseil municipal, vers les 18 heures ; une salle qui fut vite remplie par cette même compacte foule, à l’approche de son ouverture par le maire, Didier Mouly … Et pour y découvrir assez vite que c’étaient des « Papillons » – c’est leur nom de « guerre » – venus là, concentrés, pour demander une réunion publique sur le projet TDN de l’usine de Malvési.
L’humeur du pays est jaune fluo ; la mienne est plutôt noire. Entendre des candidats, lors de la campagne présidentielle, expliquer qu’il faut une taxe carbone et les voir, aujourd’hui, lancer leurs filets – jaunes ! – pour racler les fonds de la détresse sociale et ramener des voix, est insupportable !
Dans la dernière édition de Radio Barques, sur Grand Sud FM, nous recevions, en invité, le maire de Narbonne, Didier Mouly. Pas de surprise au plan politique ! Il a toujours dit qu’il serait candidat à sa réélection lors des prochaines élections municipales. Mais en précisant toutefois, à cette occasion, qu’il ne ferait pas la même erreur – que je lui ai rappelée dans ma chronique précédant son intervention – d’oublier celles, concomitantes, au conseil communautaire du Grand Narbonne.
Il y a des jours où l’envie me prend d’envoyer à mes élus régionaux aux manettes de l’Occitanie une bien belle et bien grosse tarte aux pignons sur la tête (symbolique, j’entends). Comme en ce moment où madame Delga s’exprime sur les réseaux sociaux et dans la presse régionale pour m’exhorter – « citoyennes et citoyens », dit-elle – » à participer, par un vote – « citoyen aussi », évidemment ! –, à sa« grande cause régionale 2018 » : notre alimentation.
Samedi, nous recevions à Radio Barques Édouard Rocher, le maire radical de Coursan, (en même temps de gauche et de droite, depuis la fusion du PRG et des radicaux valoisiens), évidemment candidat à sa succession (il est jeune, entend s’inscrire dans la durée, et ambitieux – ce qui, dans mon esprit en tout cas, n’a rien de péjoratif pour peu que ce désir soit au service d’un projet). L’occasion pour moi d’insister sur un point que je ne manquerai pas de soulever samedi prochain – Didier Mouly, le maire de Narbonne étant notre prochain invité – : les rapports entre élections municipales et élections à la Communauté d’agglomération et, conséquemment, ceux devant prévaloir entre la commune centre : Narbonne et ses plus ou moins proches voisines.
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Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]