Chronique de Narbonne et d’ailleurs. Le politologue Dominique Reynié vise la présidence de la grande région Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon…

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Pour les régionales de décembre 2015, l‘UMP-UDI, dans la grande région Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon, n’a pas de tête de liste crédible. Le maire de Toulouse, monsieur Moudenc, ayant clairement annoncé qu’il ne fallait pas compter sur lui et Jean Castex, le maire de Prades, ayant échoué dans les P.O dans sa tentative de faire tomber son département à Droite, comme Carayon dans le Tarn, ne restent que des seconds couteaux au charisme « cantonal »; surtout du côté Languedoc-Roussillon! Par charité chrétienne, et parce que nous sommes dans ce temps de la Pâque festive: les cloches sonnent…, je n’infligerai pas à mes lecteurs la liste de ceux qui y prétendent pour ne citer que le nom de celui qui m’est par la distance le plus proche : le maire de Carcassonne, monsieur Larrat.

Chronique de Narbonne. « Un homme, ça se tient! »

imgresLe sens de l’honneur, dans sa définition la plus large, est un principe moral d’action qui porte une personne à avoir une conduite conforme (quant à la probité, à la vertu, au courage) à une norme sociale et qui lui permette de jouir de l’estime d’autrui. À cette aune, on ne peut qu’apprécier la sortie surprise de monsieur Roussouly à sa juste valeur. Et l’on se dit que l’erreur de casting de Jacques Bascou des dernières municipales, qu’il invoque – casting dans lequel il ne figurait pas -, n’était pas, elle, à l’évidence, pour ce qui le concerne, en tout cas, une erreur…

Chronique de Narbonne. On n’y abat pas que des lapins et des perdreaux…

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Mon ami d’enfance, Maryse, habite au deuxième étage de l’ancien immeuble dit du Kursaal. Détruit et reconstruit en 2003, durant cinquante ans, le Kursaal alternera cinéma et théâtre et les plus grands se produiront sur sa scène. Aujourd’hui, ses propriétaires et locataires râlent comme taupes au soleil. Les platanes leur mangent le jour. Dès 14 heures, hélas! il fait nuit! Des missives sont parties à la mairie pour qu’on leur fasse une coupe  définitive, dans le style légionnaire, au ras, comme au Palais du Travail, mais rien n’y fait: les platanes bourgeonnent. C’est donc avec la plus grande bienveillance que je me fais l’écho de ces malheureux naufragés de la lumière, qui ont la malchance d’habiter dans ces « hôtels particuliers », et que je vous demande, monsieur le Maire, de bien vouloir étêter, tronçonner et envoyer dans la décharche publique, par toutes les voies municipales possibles, ces restes majestueux d’une époque révolue, où l’ombre des platanes de mon enfance était le signe manifeste d’une grande et belle civilisation urbaine… La célérité avec laquelle vous avez exécuté cet arbre, au petit matin, à l’heure du laitier, d’une indécente provocation pour des grincheux retardataires de mon espèce, à deux pas de votre cabinet, est pourtant l’indubitable preuve de votre grand sens des responsabilités, C’est donc avec respect  et impatience que j’attends l’ouverture de ce grand chantier municipal. Le massacre arboricole de nos boulevards ne saurait en effet attendre le début du printemps….

La faute de l’abbé Ruquier!

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Eh bien voilà! Si le Front National est crédité de près de 30% des voix aux prochaines élections départementales , « c’est la faute à Zemmour! ». Et à Ruquier, qui , durant des années, lui aurait complaisamment offert des temps d’antenne de grande écoute et à succès. Il s’en veut terriblement notre Laurent qui pourtant jamais ne se couche . Repentant, il demande publiquement le pardon national. Sans aller jusqu’à solliciter l’interdiction expiatoire de produire ses émissions sur le service public audiovisuel. Y’a des limites au sacrifice!

Les « frondeurs » à l’Élysée, pour des cacahuètes!

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Les «frondeurs» ont donc pris l’apéritif à L’Elysée, et, avec le président, se seraient rabibochés. Visiblement, sur nos écrans, très contents, d’avoir levé le «verre de l’amitié» et avalé des cacahuètes avec François Hollande. Alors même que le président avait déclaré, un peu plus tôt, dans un hebdo économique étiqueté libéral (horreur!), qu’il n’allait pas changer de ligne, ni de premier ministre.

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