Devant cette enseigne, j’y suis passé maintes fois. Sans la voir! L’esprit ailleurs, dans cet état propice à toutes les divagations que procure souvent une marche sans autre but qu’elle même. Pourquoi donc m’a-t-elle saisie hier matin, alors que je faisais mon tour de ville habituel?
Elles ont l’air d’avoir une vie propre et sont parcourues de menus tressaillements. Les ongles carrés sont coupés au ras de la chair, on voit leur épaisseur, on voit que c’est net, Joseph entretient ses mains, elles lui servent pour son travail, il fait le nécessaire. Les poignets sont solides, larges, on devine leur envers très blanc, charnu, onctueux et légèrement bombé. La peau est lisse, sans poil, et les veines saillent sous elles…
Photo: Philippe TAKA. Reportage photographique du marché aux truffes de Narbonne. Le site de l’auteur (ici)
Texte: Marie-Hélène LAFON. Extrait de son dernier roman « Joseph ». Présentation de l’auteur et de son oeuvre (ici)
On se souvient peut-être que, pour des raisons tenant à de vagues considérations de salles indisponibles, d’une part, et au caractère affirmé des organisateurs de ne point changer leur programme, d’autre part, le festival de la photo de sport « Sportfolio » avait été scandaleusement annulé, selon l’opposition municipale, simplement reporté pour la nouvelle municipalité conduite par Didier Mouly, et, bien évidemment, pour les promoteurs de cette expo, sous d’autres cieux assurément exporté.
Sur mon fil d’actus Facebook. Lu ce matin cette révélation : nous vivrions dans un « patriarcat acoustique ». Rien que ça. Quinze ans de retard, mais toujours la même ardeur pour débusquer le […]
Le mantra de Gédéon était simple, brutal : « S’il y a des problèmes avec la police, c’est parce qu’il y a des policiers. » Il en avait fait son programme. Un jour, il ferait tomber l’édifice, et son […]
Les vieilles pierres rappellent leur âge. C’est arrivé à Narbonne. Une partie du faux plafond s’est écroulée. C’était dans la piscine du Palais des Sports des Arts et du Travail. Personne […]
Elle est allée dans sa chambre. Elle est revenue. Elle tenait un disque. Marcel Amont. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]