Dernier et magnifique « geste » économico-touristique et environnemental, à la veille d’élections cantonales et régionales, dont les promoteurs privés et publics peuvent être très fiers. Une griffe d’acier, il y en aura d’autres du même genre, qui honore l’austère beauté du massif de la Clape et donne enfin à la station de Gruissan tout entière la signature artistique qui jusqu’ici lui manquait… Merci !
L’image du Président souffleté, à peine émise, a fait le tour du monde. Elle est commentée sur tous les plateaux et rend fous les complotistes de toutes obédiences ainsi que les drogués à l’actualité en boucles, notamment et surtout sur les réseaux sociaux. Condamnée par l’ensemble de la classe politique, un peu de sang froid et de modération seraient cependant nécessaires.
Lundi, 9 heures ! La salle d’attente est vide. À l’accueil, derrière une vitre de protection en plexiglass, une dame vêtue d’une blouse blanche, dont je ne vois que le visage, me demande, sur un ton administrativement neutre, mais plutôt bienveillant, de décliner mon identité et la raison de ma présence, à cette heure, dans ce service de chirurgie ambulatoire. Ce que je fais d’une voix toute aussi, disons terne. Puis j’attends, patiemment, sur une chaise en métal de couleur acier.
« Il faut avoir vu l’homme politique qui passe pour le plus entier, le plus intransigeant, le plus inapprochable depuis qu’il est au pouvoir ; il faut l’avoir vu au temps de sa disgrâce, mendier timidement, avec un sourire brillant d’amoureux, le salut hautain d’un journaliste quelconque ;
Je n’aime pas voyager loin ! À l’idée de préparer valise et sac, de me lever tôt après une courte nuit pour me rendre à l’aéroport ou la gare la plus proche en voiture, une grande fatigue alors m’accable, jusqu’à risquer de céder à la tentation de ne plus rien entreprendre.
Le sapin est bleu, le givre est froid. Mais au sommet, dans les ailes d’un papillon, brille une étoile rouge. Elle est l’étincelle de la bienveillance. C’est elle qui réchauffe l’image et […]
Samedi. Ou peut-être jeudi. Je terminais mon tour de ville. À hauteur du café « Le Duplex », je pensais à Pierre. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Hier midi, au début des Barques. Là où la ville se raconte qu’elle est un décor. Ils étaient trois. Un couple de cols verts et leur petit. Neuf et maladroit. […]
Ce matin, aux Halles. Chez Laurent Chamayou. À l’heure où l’on se retrouve. Des amis qui aiment l’Espagne. Qui aiment Jerez, le flamenco et ses bodegas. Séville, son élégance et sa féria. Sanlúcar […]
Lu dans l’Indépendant du jour : « l’Occitanie résiliente entend proposer un nouveau modèle de développement pour assurer la souveraineté économique, énergétique, sanitaire et alimentaire […]