Feu le crématorium de Montredon ! Mort avant terme dans les bras de Monsieur Mellet, son maire d’alors qui, en sus, vice-présidait et veillait au Grand Narbonne à l’avenir et aux intérêts du service communautaire des pompes funèbres.
L’information n’est pas parvenue, à ce jour il me semble, jusque dans les rédactions audoises de l’Indépendant – ou l’aurais-je inconsciemment « manquée » ?! –, alors qu’elle me semble pourtant d’un très grand intérêt politique régional et local. Qu’on en juge !
Dans une lettre au vitriol adressée le 4 février à Carole Delga, l’avocat toulousain Christophe Léguevaques attaque le contrat de concession que la Présidente de la Région Occitanie a signé, juste avant Noël, avec la société d’économie mixte Nou Vela * pour gérer les futures installations portuaires de Port-La-Nouvelle (PLN) ; et ce pendant 40 ans.
Ce matin, elle a demandé à sa mère de soigner sa coiffure ; de lui faire deux longues nattes pour enclore son visage et lui donner cet air de petite fille « russe » que nous aimons. Sa peau souple et claire paraît ainsi encore plus fraîche et ses grands yeux gris semblent beaucoup plus lumineux. C’est ainsi qu’elle nous est apparue, samedi, sur le coup de midi, dans l’encadrement de la porte d’entrée.
Dans l’actualité, une chose étonne et me ravit : la condescendance mêlée de sarcasme et de mépris des spécialistes du bavardage politique : journalistes, politologues, intellectuels « engagés », notamment, envers un Premier Ministre, dont les exposés et propos publics, sont par eux jugés trop simples, trop clairs, trop serrés, trop tranchés, trop « accentués » et donc forcément très nuls ; à l’inverse des leurs, brillamment lisses, fumeux et dérisoires, quant ils ne sont pas franchement insultants. Car dans ce pays et pour ces maîtres en éloquence, comme on le sait, l’obscur, le négligé et le pathétique, en tous domaines, sont les incontestables attributs de l’élégance et de la vérité…
C’était le jour de la Chandeleur ; celui de l’éternel retour des amandiers en fleurs, aux bords des vignes et des garrigues autour. Sur la route, m’en revenant, j’écoutais France Culture dans ma voiture. J’entendis parler de soleils, de planètes, d’étoiles râtées, de naines brunes. Plongé dans cet univers sombre et froid, la voix d’une dame savante me vint et de la naine brune me dit qu’elle était ce qu’un jour notre soleil serait. Mort ! J’eus alors la fugace et pétrifiante vision d’un immense trou noir, glacé. La vision du néant. Mais très vite cependant celle des jours a venir me conforta dans l’idée qu’encore et pour toujours les amandiers seraient en fleurs. Qu’ils illumineraient nos pâles journées d’hiver. Comme chaque année à la Chaneleur. Depuis la nuit des temps…
Le sapin est bleu, le givre est froid. Mais au sommet, dans les ailes d’un papillon, brille une étoile rouge. Elle est l’étincelle de la bienveillance. C’est elle qui réchauffe l’image et […]
Samedi. Ou peut-être jeudi. Je terminais mon tour de ville. À hauteur du café « Le Duplex », je pensais à Pierre. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Hier midi, au début des Barques. Là où la ville se raconte qu’elle est un décor. Ils étaient trois. Un couple de cols verts et leur petit. Neuf et maladroit. […]
Ce matin, aux Halles. Chez Laurent Chamayou. À l’heure où l’on se retrouve. Des amis qui aiment l’Espagne. Qui aiment Jerez, le flamenco et ses bodegas. Séville, son élégance et sa féria. Sanlúcar […]
Lu dans l’Indépendant du jour : « l’Occitanie résiliente entend proposer un nouveau modèle de développement pour assurer la souveraineté économique, énergétique, sanitaire et alimentaire […]