Il y avait la mer, au loin. Et la chaleur d’un soir d’été à Narbonne-Plage.
Quelques jours plus tôt, un incendie dramatique avait léché les portes de la ville. Plus de 2 000 hectares partis en fumée. De la garrigue en cendres, des pins calcinés, un vent de panique. Des vies brisées. Et puis le retour au calme.
Il y a des livres qui ne cherchent pas à convaincre. Ils ne s’imposent pas. Ils s’offrent. Avec cette voix calme de ceux qui savent que tout ce qui compte ne se crie pas.
Florence Delay est morte. Je l’avais lue il y a longtemps.
Le livre s’appelait Riche et légère. C’était un beau titre. On ne savait pas ce qu’il voulait dire, mais on comprenait en le lisant. Il y avait une femme, ou peut-être personne. Des villes. Des phrases courtes. Du silence. C’était un livre lent, qui avançait comme on marche seul, sans but, dans un pays qu’on aime.
Florence Delay est morte. Je l’avais lue il y a longtemps.
Le livre s’appelait Riche et légère. C’était un beau titre. On ne savait pas ce qu’il voulait dire, mais on comprenait en le lisant. Il y avait une femme, ou peut-être personne. Des villes. Des phrases courtes. Du silence. C’était un livre lent, qui avançait comme on marche seul, sans but, dans un pays qu’on aime.
Samedi. Ou peut-être jeudi. Je terminais mon tour de ville. À hauteur du café « Le Duplex », je pensais à Pierre. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Hier midi, au début des Barques. Là où la ville se raconte qu’elle est un décor. Ils étaient trois. Un couple de cols verts et leur petit. Neuf et maladroit. […]
Ce matin, aux Halles. Chez Laurent Chamayou. À l’heure où l’on se retrouve. Des amis qui aiment l’Espagne. Qui aiment Jerez, le flamenco et ses bodegas. Séville, son élégance et sa féria. Sanlúcar […]
Lu dans l’Indépendant du jour : « l’Occitanie résiliente entend proposer un nouveau modèle de développement pour assurer la souveraineté économique, énergétique, sanitaire et alimentaire […]
La pluie tombait. J’étais près de la fenêtre. La rue était vide. Des feuilles mortes couvraient la chaussée, mouillées. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]