Au mois de juin dernier, j’annonçais la naissance d’un groupe divers droite et non-inscrits au Grand Narbonne, avec à sa têteHenri Martin (?!) Un groupe qui résulterait de la fusion, après sa dissolution, de celui de Michel Py, le maire « Les Républicains » de Leucate, auquel s’adjoindraient les proches du maire de Port-la-Nouvelle, comme Gérard Kerfyser, le maire d’Armissan, et madame Viviane Durand, la mairesse de Sainte Valière, trois poids lourds de la gouvernance Bascou, notamment. Soit au total, si je compte bien, pour ce nouveau groupe, une douzaine d’élus communautaires, environ. Dans ce même billet, j’analysais les raisons et les conséquences politiques de cette initiative politique prise par celui qui, classé à droite, a pourtant permis, en compagnie de Gérard Kerfyser notamment, l’élection de Jacques Bascou à la présidence du Grand Narbonne, et ce malgré sa défaite aux municipales dernières sur Narbonne, la ville centre. Je ne vais donc pas revenir, au risque de me répéter et de lasser, sur ces différents points, que mes lecteurs peuvent retrouver exposés dans le billet figurant en lien, ci-dessous. C’est sur une de ses conséquences dans l’organisation du prochain conseil communautaire que je voudrais aujourd’hui appeler l’attention.
Partie 3. Dans un portrait de « Codor » fait par le journaliste Jacques Molénat pour un livre récent, et où l’auteur affirme que le maire de Gruissan s’était vu proposer la présidence du Grand Narbonne par Nouveau Narbonne en 2014, l’intéressé confirme qu’il y a bien eu « des propositions et des négociations ». Congrès PRG. Du beau monde, mais des décisions fondamentales restée en suspens.
J’ai abandonné la partie cinq minutes après la reprise du match France Roumanie. Vaincu par un profond ennui. Usé par une première mi-temps laborieuse, pénible… Jeu stéréotypé, sans inspiration, indiscipline et maladresses. Morne pré! Le « staff » est content: match gagné, et un point de bonus. Ce qui a retenu mon attention: un commentaire sur un cadrage de la télévision anglaise. Le personnage visé: l’analyste vidéo de l’équipe de France. Je ne savais même pas que cette fonction existait. Qu’elle était essentielle, que son titulaire passait des heures à décrypter les images d’un match. Des heures à décortiquer la moindre attitude , individuelle ou collective, le moindre geste, le plus petit déplacement…
Philippe Saurel continue son marché dans les départements de la Grande Région. Il sera, jeudi prochain, sauf imprévus, à Narbonne, où il rencontrera Didier Mouly, Bertrand Malquier et Jean-Marie Orrit. Officiellement pour parler du futur musée de la romanité ( Murena ), porté par la Région et Damien Alary. Ce dernier, comme Didier Codorniou, son référent local sur ce dossier, et Jacques Bascou, le président du Grand Narbonne, vont certainement apprécier ce court-circuitage audacieux. En réalité, il s’agira de bien d’autres choses, et, surtout, évidemment, des prochaines régionales et de la constitution de la liste départementale
Le niveau monte! Carole Delga, dans Midi-Pyrénées Politiques du 14 août, qui sort ce genre d’argument pour justifier la création d’une présidence déléguée:
Midi-Pyrénées Politiques. Votre été est « pourri » par une polémique sur la création d’une présidence déléguée au profit de Damien Alary. Vous défendez ce projet ?
Carole Delga. Dans les régions qui fusionnent, une présidence déléguée est utile. Il faut arrêter de dire aux gens que tout est simple et facile. Pendant une période transitoire, c’est utile d’avoir un président délégué en charge des politiques de convergence. Il va falloir des convergences dans le domaine ferroviaire ou des politiques environnementales. Le président délégué peut être en charge de ce travail. Je ne vois pas ce qu’il y a de choquant. Au point de vue budgétaire, cela ne va coûter plus cher et cette présidence déléguée pourrait intervenir uniquement pendant le 1er mandat.
Place de l'Hôtel de Ville de Narbonne. (Office de Tourisme)
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