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Chronique de Narbonne et de la Région: Le PS choisit Alary pour le fauteuil de Bourquin.

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Les socialistes se sont réunis par 2 fois, jeudi soir, à la fédération PS de l’Hérault, à Montpellier. Ils se sont donc décidés pour présenter la candidature de Damien Alary, 63 ans, actuel président du conseil général du Gard et bien sûr conseiller régional PS du Languedoc-Roussillon. Est ce le bon choix? Dans l’intérêt de la Région, je ne le crois pas.

Chronique de Narbonne; Grand Narbonne ! Bascou , sans surprise , réélu …

grand NarbonnePas de surprise, pour moi en tout cas, Jacques Bascou à été réélu président du Grand Narbonne . Dans un billet du premier avril, j’en exposais les raisons et annonçais une élection  » serrée , très serrée  » . Résultat final : 39 pour Didier Mouly, 42 pour Jacques Bascou… Le seul point à noter est que Py s’est fait  » retourner  » par Didier Mouly , mardi à 11 heures . Ce qui explique les quatre voix manquantes pour Bascou , trois promises par le maire de Leucate et probablement celle du maire de Cuxac, monsieur Ponciello … Noter aussi, mais j’aurai l’occasion d’y revenir , que l’autre grand vainqueur de la soirée est … Didier Codorniou .

Chronique de Narbonne: la bataille du Grand Narbonne est engagée !

Dans un billet du 26 mars, qui a été beaucoup commenté dans le petit monde politique narbonnais, je faisais observer que la défaite de Bascou aux municipales, sur Narbonne, n’entraînait pas automatiquement l’élection de son vainqueur, Didier Mouly, à la tête de la communauté d’agglomération du Grand Narbonne. Extraits : « Jacques Bascou réélu, et le rapport des forces au niveau de l’agglomération guère modifié, sinon à la marge, la question ne se posera pas pour sa présidence au Grand Narbonne : et il l’occupe déjà ! Le risque de divergence programmatique est donc nul .

Magali, Didier et Alain seront-ils pardonnés ?

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Le marché politique national obéit aux mêmes lois que les autres : les grandes marques ont la préférence des électeurs. C’est pour l’avoir ignoré aux dernières législatives que Didier Codorniou, soutenu par Magali Vergnes et Alain Péréa, en jouant contre leur Parti, ont été balayés. Sur ce terrain, il ne suffit pas en effet d’être une « icône » du rugby pour emporter des trophées. En 2015, ses chances de retrouver son poste à la Région (et leurs mairies et leurs vices-présidence au Grand Narbonne pour ses équipiers) l’oblige donc à demander le maillot et le label du PS, qu’il avait ostensiblement rejeté. Et pour ce faire passer par son adversaire le plus acharné : Eric Andrieu, le capitaine de sa toujours « ex-fédé ». On se souvient encore, comment, aux dernières régionales, George Frêche vivant a « utilisé » Codorniou contre Martine Aubry et les officiels du P.S emmenés  par Andrieu ; ce dernier est aujourd’hui député à Bruxelles et en région solidement installé. Une situation bien humiliante pour l’amour-propre de nos trois protagonistes que de les voir ainsi moyenner leur résipiscence et se mettre à la merci de leur futur « premier fédéral ». Le pardon leur sera sans nul doute donné. Un moindre mal, car il n’est point de plus haute vengeance que l’oubli. En politique surtout ! 

Bonne chance, Codor!

 

 

 

Pendant la dernière campagne des élections régionales, j’ai écrit,  ici, ce que je pensais du soutien apporté par Didier Codorniou au Président sortant Georges Frêche. Un soutien qu’il a payé, avec quelques uns de ses amis, d’une exclusion du parti socialiste. Aujourd’hui, on lui demande, la main sur le cœur, de le réintégrer. Ce qui entraînerait conséquemment l’arrêt brutal de ses ambitions parlementaires. Une ficelle un peu grosse en effet. Mais là n’est pas le plus important à mon goût. Ce qui, au-delà de nos relations amicales, me le rend cette fois ci humainement et psychologiquement plus proche, s’apparente à un certain sens de la dignité. Fidèle et constant dans ses prises de positions pro-frêchistes, il éclaire, par ses déclarations de ce matin dans la presse locale, la duplicité de ses propres amis politiques locaux : « …bien entendu que je reviendrai un jour dans la famille socialiste, sauf que c’est moi qui déciderai du moment. Car je ne veux plus être dépendant du parti comme j’ai pu l’être ».On retrouve en cette circonstance le « petit prince de l’Ovalie » qu’il fut. Suerte, Didier !