Clémentine Autain est toujours à l’avant-garde des personnalités politiques qui pensent bien et juste. Ses idées pour résoudre le problème de l’emploi en France tient en une seule équation. Nécessairement simple et belle, comme l’affirmait Einstein pour la physique:
Le plus surprenant est qu’elle n’aille pas jusqu’au bout de son développement. Avec 120 milliards supplémentaires prélevés sur les classes moyennes supérieures ( les riches!) et 8 millions d’emplois publics crées, la courbe, pourtant, subitement s’affaisserait et le plein emploi serait enfin réalisé. Cerise sur le gâteau, le souhait de madame Taubira de passer de 35 heures à 32 heures hebdomadaires pourrait même être inscrit dans la loi sur la durée légale du travail. Et Daesch serait, de surcroît, vaincu:
Ce vendredi 13 devait être une journée de détente pour le président. Mais à 21h36, sa soirée bascule. Et son quinquennat avec. Des explosions viennent de se produire à l’extérieur du stade de France. François Hollande, qui assiste au match France-Alllemagne, est informé des multiples attaques qui ont été menées dans différents points de la capitale. La France, selon ses propres mots, entrait «en guerre» contre le terrorisme islamiste. 130 morts, plus de 350 blessés, dont certains graves, très graves. l’État d’urgence était proclamé et les priorités politiques pour les mois à venir étaient chamboulées. Le temps n’est plus, comme jadis cela était dit, à la « redistribution », il exige désormais le renforcement et l’augmentation des effectifs de police, de gendarmerie et de justice.
L’entendez-vous et la lisez-vous comme moi cette petite musique de fond qui court, mezza voce, dans nos médias et sur les réseaux sociaux: « Non, nous ne sommes pas en guerre, l’affirmer c’est faire le jeu, entrer dans le piège tendu par ceux qui l’ont ouverte, sur notre propre sol ». Que nous soyons membre d’une coalition internationale, et que nous bombardions en Syrie et ailleurs en Irak, les positions du proto État de l’E.I.L (Daesch), ne seraient donc pas la première manifestation que nous y sommes engagés, sans troupes au sol, certes, mais que nous y sommes bel et bien, en guerre. Je ne connais pas d’autres mots pour désigner cette sorte d’engagement militaire là.
L’horreur, ce matin. L’horreur et la stupeur devant ces images d’épouvante. Un immense chagrin à la pensée des victimes, de leurs familles, de leurs amis; de leurs souffrances et de leurs peurs. Nous savions que cela se produirait un jour, tout en gardant malgré tout l’espoir qu’un tel drame ne viendrait jamais endeuiller notre cher et vieux pays. Mais nous ne pouvions imaginer un assassinat de masse d’une aussi forte et abominable intensité.
Déjeuner à l’Auberge des Jacobins. Nous y avons nos habitudes. Vanessa est à l’accueil. André est en cuisine. Ils sont jeunes. Ils sont sympathiques. La cuisine est simple. Les prix sont […]
Hier matin, boulevard Gambetta. M… Avec lui, c’est comme ouvrir une radio. Toujours la même musique : ce qui casse, ce qui brûle, ce qui rate. Le reste, ce qui fonctionne, ce qui tient encore debout, […]
Il était assis là, droit comme il pouvait encore l’être. Une doudoune, un souffle un peu court, les gestes comptés. Sur ses genoux, un petit chien. Léger. Silencieux. Les yeux tournés vers la porte, […]
Je croyais que la culture était un bien commun. Une respiration. Je découvre qu’elle est surtout un territoire. À défendre. À verrouiller. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]