Quelques questions sur le dernier conseil communautaire du Grand Narbonne et l’entretien accordé par son Président Jacques Bascou à Jean Paul Chaluleau, paru dans l’Indépendant de dimanche 3 octobre.
La première – d’autres suivront dans mes prochains billets – concerne la politique fiscale de l’Agglo. Elle a fait polémique récemment sur le nivellement des abattements facultatifs des taxes additionnelles et la cotisation foncière des entreprises. Notamment dans les communiqués de Nouveau Narbonne où le sang coule en abondance depuis l’arrivée de monsieur Boillot à la communication de l’Hôtel de Ville – une coïncidence sans doute – : « hémorragie fiscale », « entreprises saignées à vif »… Le débat, sur ces deux poins précis, est trop technique pour en démêler ici, simplement, tous les aspects, et l’exagération polémique trop facile identiquement pour s’en contenter en guise d’explications. Je « passe »! et en viens donc à ce qui me paraît l’essentiel !
Des présidents et des membres d’associations se rassembleront demain pour protester contre la diminution de leurs subventions de fonctionnement accordées rituellement, chaque année, par le conseil municipal, qui en décidera officiellement lui aussi mardi soir. Chacun étant dans son rôle, l’opposition, conduite par Nicolas Sainte-Cluque, reprendra les arguments de ceux qui s’estiment victimes de « coupes sombres les mettant en danger de mort » à quoi Didier Mouly, le maire, sans doute répondra que ce sont celles de l’État lui-même qui mettent les finances de la Ville en péril. Qu’en est-il réellement! Ou plutôt dans quel contexte nous trouvons nous?
« Soumis à la fronde des élus locaux qui fustigent le choix de baisser de 3,7 milliards d’euros leur dotation annuelle dans le budget 2015, le gouvernement et la majorité sont arrivés à un compromis, vendredi 17 octobre, pour compenser la diminution de ces aides »
Déjeuner à l’Auberge des Jacobins. Nous y avons nos habitudes. Vanessa est à l’accueil. André est en cuisine. Ils sont jeunes. Ils sont sympathiques. La cuisine est simple. Les prix sont […]
Hier matin, boulevard Gambetta. M… Avec lui, c’est comme ouvrir une radio. Toujours la même musique : ce qui casse, ce qui brûle, ce qui rate. Le reste, ce qui fonctionne, ce qui tient encore debout, […]
Il était assis là, droit comme il pouvait encore l’être. Une doudoune, un souffle un peu court, les gestes comptés. Sur ses genoux, un petit chien. Léger. Silencieux. Les yeux tournés vers la porte, […]
Je croyais que la culture était un bien commun. Une respiration. Je découvre qu’elle est surtout un territoire. À défendre. À verrouiller. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]