Denis Carrière (deuxième à partant de la gauche) et ses amis Georges Martinez, Rémy Bertrand et Jean Claude Courdil
Bon! on ne va pas “se battre” avec Laurent Rouquette pour savoir qui, des réseaux sociaux, et de ce blog en particulier, ou de son journal, a informé, le premier ou pas, l’interdiction faite à Denis Carrière de croquer scènes et “ambiances” à l’intérieur des Halles (1). Le fait est qu’elle lui fut signifiée, physiquement, par deux vigiles municipaux au tempérament musclé, et confirmée, officiellement, le lendemain, par un communiqué du maire sans ambiguïté. Qui n’est pas passé! et qui est à l’origine de l’occupation pacifique des Halles par une bonne trentaine de croquistes, artistes-peintres et photographes de la région narbonnaise (2).
Aux halles, ça râle . Sec ! Après les tonneaux . Ceux des “bodegas”, qui bouchonnent les allées et empêchent les clients de circuler . Des entraves à la liberté d’acheter navets et pâtés s’insurgent les épiciers. Des fûts où s’infusent l’esprit des narbonnais protestent les cabaretiers.
Les Barques de Cité, ce matin. Tout est calme avant le feu du midi. Ombre et fraîcheur… L’espace est désormais ouvert sur la Robine et le cours Mirabeau. Plein champ sur la ville ! Un coup d’oeil suffit pour que s’offrent Bourg et ses Halles. Le Pont des Marchands aussi. L’espace est fluide, élégant ! Un miroir aux lignes fines ; un coeur recréé . Qui le rend plus léger et le met en beauté. Comme jamais ! J’aime, le matin, ses jeux d’ombre. Le passé s’y mêle. Qui rend ces Barques encore plus belles… Les voix sont restées à peu près pareilles. Quelqu’un vient de passer. Il reste un soupir…
Elle était assise sous la véranda de ce bistrot du centre ville où je m’étais installé pour y boire une tasse de café noir. Je l’observais, élégante et rêveuse, caress[Lire la suite]
Depuis des mois, je ne lis plus que des correspondances, carnets, journaux d’auteurs : Flaubert, Gide, Malaparte, Renard, les Goncourt … (dernier achat chez mon bouquiniste : Les car[Lire la suite]
Recommandant la lecture quotidienne d’une ou deux « pensées » de La Rochefoucauld ou de La Bruyère pour exercer sa lucidité et ne point être dupe de certaines postures social[Lire la suite]
Qui pense encore à nos 13 soldats morts il y a quatre jours à peine dans une opération de combat menée contre nos ennemis djihadistes ; qui pense encore à leu[Lire la suite]
Lundi dernier, était-ce le matin ou l’après-midi, je ne sais plus. Pour quelles raisons me suis-je retrouvé devant l’entrée du passage de l’Ancre, je l’ignore. Et[Lire la suite]
Il faut bien le reconnaître, le Palais des Arts des Sports et du Travail a toujours fait l'objet d'un rejet esthétique, culturel et politique de la part des élus de droite et de gauche [Lire la suite]