Remettre la politique en marche.
Je mets en ligne ce billet roboratif de Maxime TANDONNET . On n’est pas obligé de partager ses options politiques en effet pour ne pas reconnaître plus qu’un fond de vérité dans son point de vue…
Je mets en ligne ce billet roboratif de Maxime TANDONNET . On n’est pas obligé de partager ses options politiques en effet pour ne pas reconnaître plus qu’un fond de vérité dans son point de vue…
Comme je l’ai déjà noté dans de précédents billets , les conditions d’une recomposition politique générale sont aujourd’hui réunies.
Le parti socialiste peut se scinder entre une frange « gouvernementale » dirigée par M. Valls et des courants qui ne se retrouvent que dans l’incapacité idéologique à assumer l’exercice du pouvoir , majoritaires à l’assemblée et chez les militants. Quant à l’UMP, elle se déchire sous nos yeux entre la tendance euroréaliste et néo gaulliste, qu’incarnent des Guaino, Dati, Le Maire et Wauquiez, notamment, et euroconformiste et centriste derrière Alain Juppé, Raffarin, NKM …
Le député socialiste de Montpellier, Christian Assaf n’a pas voté le pacte de stabilité du premier ministre Manuel Valls. Pourquoi ?
Le meilleur article de ma revue de presse quotidienne sur ce sujet … dans » la Croix » de ce matin ! La vente d’Alstom est-elle le signe du déclin industriel français ?
Créer un « Airbus de l’énergie », selon l’expression de François Hollande, en associant Alstom à Siemens, malgré les risques que cela représente en termes de doublons industriel ? Ou bien créer un nouveau mastodonte franco-américain du secteur, une sorte de « Boeing de l’énergie », avec la reprise de la branche énergie d’Alstom par General Electric (GE), deux entreprises aux activités complémentaires ?