À croire que rien ne peut échapper, du sol ou de l’eau, à ce genre de prédation de l’industrie touristique…
Hier soir, assis, non ! plutôt affalé dans mon fauteuil, les jambes molles, les yeux brouillés et le cerveau vide, je fixais, dans un état quasi hypnotique, les aiguilles d’une petite horloge qui indiquaient 21h30. Je ne contrôlais plus le battement de mes paupières, ni le rytme de bâillements à répétition, encore moins le mouvement réflexe de ma main droite : elle se plaisait à gratter énergiquement le haut de mon crâne.