Petite contribution à l’édification morale des électeurs montpelliérains
Philippe Saurel, le dissident socialiste, l’a donc emporté à Montpellier. Un ami narbonnais, amateur d’art contemporain comme lui, qui le connaît très bien, me disait de ce dentiste, mis en piste par Georges Frêche, qu’il n’avait qu’une seule idée en tête depuis son entrée en politique : être un jour maire de Montpellier.