3 à 0 sur les trois cantons de Narbonne au profit du PS-PRG, ce qui n’était jamais arrivé à la droite locale depuis l’élection de son père Hubert, ne semble pas troubler son fils Didier depuis un an son héritier. C’est l’impression que l’on tire d’un long article à lui consacré par Manuel Cudel dans le Midi Libre d’hier. Tout baigne! Les intercommunalités sont toutes à gauche, le département Itou et le FN premier parti en voix, mais Y’a de la joie, nous chante le maire de Narbonne. À l’inverse d’un Py, le patron de l’UMP qui, à juste titre, se remet en question et promeut désormais une droite assumée et libérée d’une quelconque tutelle idéologique du maire de Narbonne; à commencer par les régionales de décembre 2015. Ce qui lui vaut d’être menacé de représailles électorales.
Monsieur Ortiz est Vice-Président du Grand Narbonne. Dans le privé, il officie dans une agence bancaire. N’étant pas de sa « clientèle », je ne peux rien dire de son comportement à son égard. Mais du « Ta gueule » adressé à Gérard Schivardi, lors de la dernière session du conseil communautaire, j’en aurai aussitôt retiré mon compte et le reste. Ce ne sont pas des manières! Faut dire, à son crédit, si je puis dire, que son Président Jacques Bascou lui avait tendu le godet : « Ce n’est pas un forum ou le comptoir d’un bistrot, ici, bordel! ». Un langage finalement accordé – pour le justifier peut-être? – à l’objet de ce vulgaire échange, à savoir le recrutement d’un(e) directeur (trice) de la communication; et à cette occasion donner au corps de leur institution une très vilaine… image!
Déjeuner à l’Auberge des Jacobins. Nous y avons nos habitudes. Vanessa est à l’accueil. André est en cuisine. Ils sont jeunes. Ils sont sympathiques. La cuisine est simple. Les prix sont […]
Hier matin, boulevard Gambetta. M… Avec lui, c’est comme ouvrir une radio. Toujours la même musique : ce qui casse, ce qui brûle, ce qui rate. Le reste, ce qui fonctionne, ce qui tient encore debout, […]
Il était assis là, droit comme il pouvait encore l’être. Une doudoune, un souffle un peu court, les gestes comptés. Sur ses genoux, un petit chien. Léger. Silencieux. Les yeux tournés vers la porte, […]
Je croyais que la culture était un bien commun. Une respiration. Je découvre qu’elle est surtout un territoire. À défendre. À verrouiller. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]