En Occitanie, les résultats des élections européennes sont conformes à ceux constatés au plan national (Seuls les écarts entre les deux premiers, en pourcentage, plus élevés, diffèrent, pour les suivants, ils ne sont significatifs) Le RN arrive donc en tête, suivi de LREM et des Verts. Et, comme dans la France entière, les chiffres relevés traduisent un effondrement de LFI et des LR ; des chiffres qui confirment aussi la marginalisation du PS, très loin dans le tableau.
On n’est jamais déçu avec les radicaux de gauche. Sitôt partis rejoindre en catastrophe ceux de droite, en décembre 2017, en créant le Mouvement radical, social, libéral (…),* au lendemain d’une présidentielle mortelle pour les premiers comme pour les seconds, voilà que certains d’entre eux, pas tous, mais non des moindres, Madame Pinel et Monsieur Codorniou, notamment, annoncent leur retour dans leur maison mère, le PRG (maintenu vivant, juridiquement parlant !)
Monsieur Baylet a de la constance. On se souvient peut-être de sa menace de quitter la majorité si le gouvernement avait maintenu, dans son projet de loi sur la réforme territoriale (loi NOTRe), la suppression des départements. À la veille d’importantes élections locales, Manuel Valls, sous la pression, avait finalement cédé en lui offrant, de surcroît, l’abandon d’un autre volet de cette réforme : l’élection des conseillers communautaires au suffrage universel.
Fin de congrès pour le PRG, et fin de règne – apparent : que serait en effet ce parti sans le groupe La Dépêche de la famille Baylet ? – pour son « historique » président J.M. Baylet, qui passe la main à son ancienne assistante, Sylvia Pinel, première vice-présidente de la Région « Occitanie » – À noter cependant le bon score (34,5% des voix) réalisé par son concurrent Guilhem Porcheron. Autant dire que la direction du PRG reste sous contrôle. Une présidente qui a demandé samedi aux militants « de commencer à se préparer pour la présidentielle de 2017 et de se mettre à chercher des parrainages ».
« Le Parti socialiste pourrait modifier ses statuts afin de contourner l’obligation d’organiser une primaire pour désigner son candidat à la présidentielle si toute la gauche n’y participe pas, a déclaré mercredi son Premier secrétaire. » C’est une des « quatre ou cinq possibilités » dont le PS débattra samedi en conseil national, a précisé Jean-Christophe Cambadélis lors de l’émission Question d’Infos, sur LCP. Certainement le scénario le plus probable. Encore que?
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