Bon, allez, je vais encore faire du mauvais esprit! Ce sont les derniers échanges , notamment, entre Elsom et les soutiens du pseudo fonds qatari – c’est à dire toute la classe, ou presque , politico-sportive, ou sportivo-politique – au choix! -, de Narbonne, au sens large – géographique – du terme – mais à l’horizon limité – qui m’y poussent.
À la lecture de l’Indépendant du 29 novembre, et de l’article, encore un, consacré à la tentative de rachat du RCNM par un pseudo fonds qatari, mon sang n’a fait qu’un tour; et me suis précipité sur mon clavier pour l’exprimer en quelques mots. D’abord pour dire stop! à la désinformation sur le fonds d’investissement en question. Dans un billet consacré à cette affaire,j’ai déjà eu l’occasion d’apporter des informations utiles à la connaissance, ainsi qu’à la domiciliation de ces investisseurs, pour m’étonner qu’elles n’aient pas encore été portées à celle du plus grand nombre des narbonnais intéressés par la vie et l’avenir du RCNM.
Partie 2 : Ménard fait le buzz, encore et encore…ou l’art des médias nationaux de s’en faire les complices! Rafales au Quatar…un business qui donne des vertiges idéologiques à certains militants de gauche.
L’exercice du pouvoir rabote les idéologies. Surtout celles fondées sur de « bons sentiments ». Qui pouvait imaginer, à gauche, que le discours de François Hollande au Bourget se traduirait, 2 ans et demi plus tard, par sa signature au bas de contrats d’armement au profit du Groupe Dassault et du Qatar, notamment. Le Qatar qui avec, l’Arabie Saoudite, est pourtant le principal acteur de l’expansion dans le monde d’un salafisme dur, avec une vision de la femme qui tourne le dos aux droits universels les plus fondamentaux; et qui conduit aux dérives actuelles de l’islamisme le plus violent. Que ce soit dans le domaine économique ou social, comme en politique étrangère, l’exécutif et sa majorité minent les fondations culturelles de la vieille gauche militante. Ne lui restera bientôt plus, à ce rythme, que le mariage pour tous pour y croire encore. Il y a quelque chose de pathétique à voir ainsi se dissoudre sous nos yeux une grande part des thèmes et des mots qui, il y a quelques petites années à peine, dominaient le « champ » politique et idéologique français. L’hégémonie intellectuelle et culturelle de la gauche n’est plus… D’une certaine gauche! Reste à en reconstruire une nouvelle. Adaptée au monde tel qu’il est. Avec de nouvelles idées, d’autres mots. Bref écrire un nouveau récit qui la rendre capable de gouverner, sans troubles schizophrènes…