Comme tout territoire, Narbonne n’est pas entièrement lisse et homogène. Au contraire, c’est un agrégat de quartiers, d’ îlots qui ont leur histoire, leur style ainsi que leurs frontières invisibles. Promenez-vous par exemple rue Cabirol, puis bifurquez sur la place Cassaignol : vous avez traversé un espace très bref et vous voilà dans un changement total d’ambiance visuelle et sonore. Il y a comme bio-diversité appliquée à la Ville, où ce ne sont plus les espèces mais les espaces qui apparaissent, se développent, et où d’autres sont menacés ou en voie d’extinction.
Il est des endroits ignorés de la foule où flotte un sentiment de paisible quiétude. On y croise du regard un couple d’amoureux, un homme seul perdu dans ses songes, une jeune maman toute à son enfant… Quelques touristes aussi traversent ce jardin adossé au cloître de la cathédrale Saint Just et Saint Pasteur : comme saisis par la discrète beauté du lieu, leurs pas se font légers sur les allées gravillonnées.
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]
Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]