« En expert des équilibres politiques à gauche et, plus encore, de ceux qui prévalent à l’intérieur du Parti socialiste, François Hollande avait sans doute prévu que sa majorité tanguerait. Que les Verts verraient rouge. Que des députés d’Aubry et d’ailleurs menaceraient, sans cependant risquer leur siège, en contraignant le chef de l’Etat à dissoudre l’Assemblée nationale. Bref, beaucoup d’agitation pour pas grand chose, devait-il se dire. La suite dans le lien ci dessous… »
L’axe Elysée/Matignon/Le Monde tente d’allumer désespérément des contre feux afin de noyer l’incendie politique provoqué par la catastrophique gestion Hollandienne de l’expulsion de la famille Dibrani. Mais la recette anti-américaine classiquement proposée au « peuple de gauche » pour lier toutes ses composantes ne prend plus. Elle file! De « l’espionnage » dont nous ferions l’objet (j’en tremble quand j’ouvre mon ordinateur ou téléphone à mon petit fils) dont ce journal en fait sa » Une « et Fabius un coup de sang, tout le monde s’en moque . Obama le premier ! Qui se marre en nous rappelant que ce n’était un secret pour personne, qu’il allait continuer et que venant de « l’un des plus grands bastions de l’espionnage au monde » il n’en avait finalement rien à cirer.