Tout le monde s’en moque, surtout en cet été de canicule, mais voilà un sujet qui pourtant devrait être au centre des politiques urbaines qui seront présentées aux électeurs en mars 2020.
Philippe Vergnes, le président de la Chambre d’Agriculture de l’Aude, a décidé de « prendre le taureau par les cornes ». Ce sont ses termes. Appropriés, en l’espèce. Et de se rendre prochainement, nous annonce-t-il, dans un « campo » de la région de la Mancha pour l’affronter. L’animal : la filière viticole espagnole. Elle serait « manso » et pratiquerait un toreo d’esquive préjudiciable aux intérêts des viticulteurs du cru. Pour le sortir de sa « querencia » et le toréer à sa main, notre « quijote » audois lui tend la « muleta » d’une hausse des prix coordonnée profitable à tous. Une entente, quoi! Avec le risque de recevoir trois magistrales « piques » de l’Autorité de la Concurrence, et rentrer, tête basse, au toril. Qui ne l’avait averti de « bien prendre garde? », et « que c’étaient des moulins à vent et que, pour s’y tromper, il fallait en avoir d’autres dans la tête? » (Cervantès)…
Ve 21.9.2024 « Putainng ! Vous voulez vous suicider ? Vous pouvez pas me laisser passer, nom de Dieu… Putainng ! » Au volant de sa décapotable blanche, toit ouvert, à l’arrêt devant le passage piéton […]