Le MuReNa prend forme (ouverture prévue en 2019) ; mais je m’interroge toujours sur ce que sera son fond. La seule certitude que nous avons est qu’il abritera les collections de pierres antiques taillées et sculptées actuellement dispersées sur plusieurs sites de la Ville de Narbonne (et lui appartenant).
« Coucou, c’est moi * ! C’est moi, Marie-Hélène Fabre. » Qui ? « M.H.F, votre ex-députée sortante et sortie par mon ancien DGS à la mairie de Narbonne ! Sortie et larguée en pleine campagne par Jacques Bascou et tous ces faux-culs du Ps » Oui, et alors ? « Je vais me les faire ces traîtres, à coups de savates dans les rotules »
Après le licenciement de la Directrice Générale des Services de la Ville, c’est au tour du jeune Directeur de Cabinet du maire, monsieur Mandin, en poste depuis septembre 2016, de quitter l’Hôtel de Ville. Hier soir, sa démission pour des raisons strictement personnelles et professionnelles (bien entendu !) a été annoncée aux élus du Bureau Municipal. Dans mon billet d’hier, j’analysais les véritables raisons à l’origine de cette décision très politique concernant madame Umbach.
Je ne reviendrai pas ici sur les conditions administratives et juridiques dans lesquelles madame Umbach quitte ses fonctions de DGS de la Ville de Narbonne, la presse locale et certains membres de l’opposition s’en sont fait largement l’écho. Je dois dire, au passage, que, comme souvent dans ce genre de circonstances, les passions les plus tristes : ressentiment, jalousies, règlements de comptes professionnels (ou, à travers sa personne, politiques) n’ont pas manqué ; ce qui, chez moi, entraîne presque immédiatement une première réaction, disons de bienveillante neutralité.
J’apprends que l’Agence de Développement Touristique de l’Aude veut repenser son « marketing » de la « destination Aude » (Passons sur ce langage de communicant puissamment détestable : il faut faire avec, hélas, pour se faire comprendre – ce dont toutefois je doute .) Il serait temps, en effet ! Je n’ai jamais saisi, notamment, les raisons qui ont amené les décideurs de ce Département à choisir la « marque Pays Cathare » * comme bannière d’un territoire qui ne possède aucun site patrimonial clairement identifié à ce mouvement religieux ; alors que l’Aude possède, a contrario, avec la Cité de Carcassonne et l’ensemble monumental de Narbonne (entre autres monuments historiques), les sites médiévaux les plus visités de l’ex-Région Languedoc-Roussillon (sans parler du canal du midi). Cela dit, le Département n’est pas seul en cause dans l’affichage (pour rester dans la com !) d’un tel contresens historique (et touristique).