Fin du film politique qui a tenu en haleine la gauche de la gauche française, les souverainistes de tous bords et les libéraux-libertariens: Tsipras vient d’être élu sur un programme « d’austérité » négocié avec l’Europe. Une Europe et ses règles budgétaires et financières qui furent pourtant présentés lors de sa première accession au pouvoir comme les responsables de la situation dramatique dans laquelle se trouve la Grèce. Qui ne se souvient des campagnes idéologiques et politiques menées alors contre l’Allemagne considérée comme l’État chef de file des politiques d’austérité de la zone euro? Campagnes relayées en France avec des mots d’une violence inouïe. François Hollande estime donc ce matin que cette victoire de Syriza aux élections législatives de dimanche était un « message important » pour la gauche européenne.
Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a annoncé samedi vouloir demander au « peuple de gauche » par « référendum » mi-octobre s’il souhaite l’unité des forces de gauche aux régionales. Pour ce faire, trois jours durant, les militants du PS disposeront sur l’ensemble des marchés de France des urnes pour permettre aux citoyens qui le désirent de voter. Des urnes sur les marchés! Entre têtes de veaux et choux-fleurs…fromages et salades… Et cela 15 jours avant le dépôt des listes, une fois les bulletins imprimés. Quand ils ont appris la nouvelle, les Verts d’Onesta, qui se réunissaient, dans l’Aude, à Villesèquelande, pour valider le « Projet En Commun » élaboré avec le PC, le Front de Gauche, Ensemble! et les Occitanistes,sont tombés en transe : « morts de rire ».
Ce matin, samedi 19 septembre, nous recevions, Jean Claude Julès et moi-même, sur Radio Grand Sud FM, dans le cadre de l’émission Radio Barques, Jean Fabre, un des trois co-présidents du F.C.L, le club de rugby à 13 de la ville de Lézignan. Un des 9 clubs de « l’élite nationale » au riche palmarès.
J’avoue ne pas comprendre la logique politique qui amène les dirigeants socialistes du Languedoc-Roussillon, et madame Delga, à se battre encore pour défendre cette funeste idée d’une présidence déléguée qui, de surcroît, serait réservée à monsieur Damien Alary. L’argument avancé, pour les plus cohérents d’entre eux, est celui d’une représentation régionale qui serait ainsi à la hauteur du « poids » de l’actuelle région L-R. Un argument qui ne tient pas si on s’en tient au seul paramètre institutionnel qui compte: la répartition des sièges dans le futur conseil régional. Que constate-t-on, en effet? He bien que sur les 158 sièges en question, 85 reviendront à des élus des 5 départements de l’actuel Languedoc-Roussillon. 53% des sièges donc!
Ve 24.1.2025 Chaque mardi et mercredi, une atmosphère singulière flotte dans les allées de ce magasin à libre-service. Loin de l’agitation habituelle des fins de semaine, elles ne sont empruntées que […]
Me 22.1.2025 Cinéma. Dimanche, à 15 heures, ai vu, au Théâtre + Cinéma – scène nationale Grand Narbonne, le dernier film de Walter Salles : Je suis toujours là. Un grand film qui m’a incité à […]