Un roman noir de G.J.Arnaud en « Narbonnaise » : « Les jeudis de Julie » !

Sans titre

Sigean est une commune à une vingtaine de kilomètres au sud de Narbonne. Vers 1970, employée dans l’immobilier, Marie Lacaze habite une maison au bord de l’étang  à l’écart du centre de Sigean, avec sa fille Julie. Noël, l’époux de Marie, est décédé cinq ans plus tôt ; leur aîné Simon est mort à l’âge de douze ans. Marie reste en contact avec Germaine Marty, la sœur de son mari, qui élève seule sa fille Gilberte, étudiante dans le social. Elle laisse une grande liberté à Julie, âgée de dix ans, qui aime flâner aux abords de l’étang. Le jeudi est encore le jour de repos des écoliers.

Dans « Révélations », de Numéro 23 : Fleury d’Aude, capitale de l’absentéisme municipal !

 

     

Ce reportage (à partir de la minute 28),  sur la commune de Fleury (4000 habitants), où il est fait état, entre autres spécialités, d’une situation où ses 120 fonctionnaires territoriaux travaillent en moyenne 3 semaines de moins que leurs collègues des autres collectivités locales de la France métropolitaine. Autre singularité locale : l’absenstéisme : 38 jours par agent en moyenne, contre 22 au plan national (coût pour Fleury : 700 000€ !) Un reportage où le maire, Guy Sié, fait montre d’un grand sens de l’humour. Les premières images, notamment, sont à se tordre de rire…

Narbonne ! Publicité « mensongère » et provocations esthétiques…

 

     

Les grands panneaux publicitaires marchands qui flirtent avec le secteur sauvegardé du centre-ville sont des oeuvres d’art, comparés à  ceux qui désormais sont installés par les services municipaux aux abords de chantiers, réels ou imaginaires, ouverts par la Ville. On se souvient peut-être encore de cette affreuse enseigne quillée sur une « bitte » urbaine en béton de plusieurs quintaux déposée à quelques dizaines de mètres de la place de l’Hôtel de Ville (comme en offrande aux touristes de passage).

Catalogne : ces indépendantistes qui nous la jouent sur l’air de la guerre civile de 36 !

Et voilà qu’on nous le joue sur les airs de la guerre civile espagnole, le coup de force des indépendantistes catalan. Les « cons » osant tout, quelques « zozos » de la « catalogne du Nord » (le département des Pyrénées Orientales) réserveraient maison et hôtels pour le président Carles Puigdemont, sa famille, ses proches, et tous ceux qui fuiraient « l’ignoble répression » de l’État espagnol.

Philippe Jaenada présentait son roman « La Serpe » à Port-Leucate, cet été. Je l’ai lu…

Cette année, Michel Py m’a gentiment adressé (comme il le fait régulièrement à chaque rentrée littéraire) le dernier roman de Philippe Jaenada, « La Serpe »  (éditions Julliard), présenté en avant-première à Port Leucate le 20 août dernier, dans le cadre de la manifestation « Auteurs à la Plage » (1). Un choix judicieux : l’auteur figure en effet dans la sélection du prix Renaudot 2017, après l’avoir été dans celle du Goncourt. Un roman-enquête qui, d’emblée, à la vue de son épaisse taille (600 pages), m’a paru difficile d’accès ; jusqu’à ce que le « ton » de ses premières phrases finisse par me faire oublier très vite cette première (et fort paresseuse) impression.