Marine ? pire que Le Pen !…


Dimanche dernier, à Marseille, le ton et les thèmes de campagne de Marine le Pen m’ont irrésistiblement rappelé ceux d’une époque où ont convergé, venant d’une certaine gauche et d’une  certaine droite, une critique sans concession du libéralisme économique et politique, la promotion d’une économie administrée et planifiée, un anti américanisme de principe, une glorification patriotique délirante, la peur de l’ouverture au monde…

Michel Serres et la politique en 2025 ?!

 

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Le philosophe Michel Serres a été reçu mardi dernier par le Premier ministre pour parler de la France de 2025. 2025! Au siècle de Google, du mariage pour tous et des robots domestiques autant dire dans un autre espace temps. Je dois avouer que je n’ai pas très envie d’y penser.

À Narbonne, les terrasses affichent complètes ?!

 

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Cette phrase de Gaëtan Delafolie trouvée dans son article sur la  » braderie  » de Narbonne,  lu , ce matin, dans l’édition de la même ville du Midi Libre de ce jour : « Jeudi 1 août, à midi, les terrasses affichaient toutes complètes. » Complètes, bigre ! Complètes, elles l’étaient sans doute les terrasses, mais peut-on dire, sans blesser l’oreille et l’usage, qu’elles affichaient complètes ? Même précédées de toutes, les dites terrasses n’affichaient qu’un seul et même message : complet ! non ? Ce soir là, sur les Barques, les commerçants du centre ville donnaient concert. Le Rive gauche aussi, 50 mètres plus loin. Cacophonie ! Bouillie sonore fortement dosée en violents décibels et pauvres onomatopées anglo-saxonnes. Une purée aux accents d’ici. Incompréhensible aux oreilles d’un hooligan analphabète et beurré… Une affiche de folie, Gaëtan ! Les terrasses étaient clairsemées. Le complet, quoi !

Lire André Blanchard, un dimanche: « Et ne nous faîtes pas honte, hein, votez bien! »

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« Ni fielleux, ni bilieux, il joue jusqu’au bout du rouleau la partition du désespoir gai, du nihilisme fugueur. Il est rare qu’on sente autant, en pleine lecture, la chance qu’on a d’être un lecteur. » C’est pour ces lignes de Beigbeder, que je lis en ce moment, le matin, tôt de préférence, les derniers « carnets 2009-2011 » d’André Blanchard publiés sous le titre « À la demande générale », aux éditions « Le Dilettante ». On y trouve ceci, à la page 101 :

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