Un insoumis traqueur de « fascistes planqués », filme un individu casqué tabassant un manifestant place de la Contrescarpe au moi de mai. Le Monde tombe, par le plus grand des hasards,sur cette vidéo, mobilise ses équipes au chômage technique, et, re-hasard bingo !lance sa « bombe » – politique – à fragmentation en pleine saison estivale : la petite frappe déguisée en faux flic est un nommé Alexandre Benalla, chargé de la sécurité d’Emmanuel Macron.
Louis Privat, le patron des « Grands Buffets » n’est jamais à court d’idées – il ne fait jamais rien comme personne ! Surtout quand il s’agit de promouvoir l’art contemporain et les artistes qu’il affectionne.Et qu’il fait, à sa manière, dans des lieux ou des conditions originales, comme autant de « performances ». En 2008, déjà, il demandait à Patrick Chappert-Gaujal, de travailler le métal et d’investir les cuisines de son restaurant de l’Espace de Liberté pour y faire entrer de la lumière et de la beauté. Un « geste » artistiquement, techniquement et professionnellement osé. Et parfaitement réussi ! D’autres artistes suivirent et non des moindres, comme le sétois Di Rosa et ses bronzes, autour de ses fontaines… De sorte que son restaurant est devenu aussi, au fil du temps et des ses « coups de coeur », une « galerie » d’un type particulier, sans finalité marchande, dont l’objet estde redonner à l’art sa fonction ornementale ; de le mettre au contact des publics les plus divers.
Le croquis de la semaine de Denis Carrière : « Narbonne, ville (d’art) et d’histoire ! »
Lire aussi : l’étrange destin de l’Aspirateur en cliquant sur (ici)
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J’écoute le troisième entretien accordé par Claude Lanzmann à Laure Adler (À voix nues), diffusé sur France le 28/12/2005. Tout à la fin il évoque sa découverte, grâce à un camarade de lycée, de L’Etre et le Néant de Jean-Paul Sartre qui venait de paraître. Ce camarade était Jean Cau [1] : ils préparaient ensemble l’Ecole Normale supérieure à Louis-le-Grand. Cau, raconte Claude Lanzmann, était persuadé que pour réussir dans le monde littéraire et intellectuel parisien, il fallait assurer le « secrétariat »d’un « grand auteur ». Le seul qui répondit à son offre (envoyée aussi à Benda, Genet, Cocteau…) fut Sartre qui, lors d’un rendez-vous au café de Flore, sortit un paquetde « papiers » de sa poche et dit à Cau : « débrouillez-vous avec ça » ; ce qu’il fit pendant onze ans, de 1947 à 1956, rapporte Lanzmann.
Ve 31.1.2025 Levé à 4h30. Déverrouillage de l’alarme programmée à 5h30. Monté dans le taxi à 7h. Arrivé à l’hôpital privé du Grand Narbonne à 7h 15. Pris en charge, en mains plutôt, par une première […]
Ve 24.1.2025 Chaque mardi et mercredi, une atmosphère singulière flotte dans les allées de ce magasin à libre-service. Loin de l’agitation habituelle des fins de semaine, elles ne sont empruntées que […]
Me 22.1.2025 Cinéma. Dimanche, à 15 heures, ai vu, au Théâtre + Cinéma – scène nationale Grand Narbonne, le dernier film de Walter Salles : Je suis toujours là. Un grand film qui m’a incité à […]