Un peu plus de dix ans déjà que ce blog existe. Sans votre fidélité, je n’aurai pas l’occasion de vous souhaiter encore une fois une bonne et heureuse année. Pour vous et vos proches, je l’espère ouverte aux joies de l’amitié et de la famille comme aux petits et grands plaisirs de la vie. Que 2018 vous apporte enfin du bonheur en illimité et de l’amour à l’infini… À très bientôt !
Lire aussi : « Adelyne, ma boulangère, mon amie, à l’heure où blanchit la campagne, partira… » (ici)
Vous pouvez agrandir l’image en cliquant dessus. Tous les croquis de Denis sont disponibles en cliquant sur Denis Carrière, en rouge, en haut et à gauche.
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C’est toujours lors de débats sur de « petits dossiers » (sans grands enjeux financiers) que s’expriment souvent, et de manière toujours inattendue, de fortes contradictions (et arrière-pensées) politiques. La Communauté d’Agglomération du Grand Narbonne n’échappe pas à cette règle, que j’ai maintes fois constatée dans le fonctionnement des collectivités publiques (Région, Département etc.) Ainsi, lors du dernier conseil communautaire, s’est produit un évènement politique d’apparence futile, mais néanmoins très révélateur des très fortes tensions politiques à l’oeuvre au sein même du groupe majoritaire de l’assemblée présidée par Jacques Bascou.
Devant ma tasse de café (bien chaud), comme ce matin (très tôt), lecture de quatre ou cinq nouvelles d’Annie Saumont. Trois, quatre pages chacune seulement, mais d’une grande densité. Pour les amateurs de ce genre littéraire, son style, son imaginaire et ses thèmes la rapprochent de Raymond Carver : le maître américain ! Rapide, incisive, rien ne lui échappe des peurs, des troubles et des angoisses de personnages aux identités floues, déboussolés, paumés, mal dans leur peau voire carrément tordus. Pas de mièvres bluettes romantiques : des histoires de vie dans lesquelles on parle aussi d’amour, de tendresse. Certaines de ses âmes grises, longtemps, occupent l’esprit ; qu’il m’arrive de croiser au fond d’un bistrot, un soir de « fête » ou tout simplement au coin d’une rue. Quand ce n’est pas devant mon miroir… Le titre de ce recueil *, posé sur ma table, est tiré d’une des dix huit brèves histoires, le composant : « koman sa sécri émé ? ». Très courte : deux pages. Son titre ? SMS ! Un petit bijou : drôle et cruel…
Ve 31.1.2025 Levé à 4h30. Déverrouillage de l’alarme programmée à 5h30. Monté dans le taxi à 7h. Arrivé à l’hôpital privé du Grand Narbonne à 7h 15. Pris en charge, en mains plutôt, par une première […]
Ve 24.1.2025 Chaque mardi et mercredi, une atmosphère singulière flotte dans les allées de ce magasin à libre-service. Loin de l’agitation habituelle des fins de semaine, elles ne sont empruntées que […]
Me 22.1.2025 Cinéma. Dimanche, à 15 heures, ai vu, au Théâtre + Cinéma – scène nationale Grand Narbonne, le dernier film de Walter Salles : Je suis toujours là. Un grand film qui m’a incité à […]