Travail et capital: le partage.
Un résumé « perso » du rapport de Jean-Philippe Cotis, Directeur général de l’Insee, sur le partage de la valeur ajoutée.
Un résumé « perso » du rapport de Jean-Philippe Cotis, Directeur général de l’Insee, sur le partage de la valeur ajoutée.
Après plusieurs jours de violence, le quartier …1…, ville ouvrière et cité-dortoir au sud de..2.. , semble avoir retrouvé le calme. La mort d’un jeune du quartier, tué par la police le 7 mai, avait provoqué des heurts avec les forces de l’ordre. Si les événements de..1..ont rappelé la situation difficile des quartiers populaires – en témoigne la réaction de l’ancien évêque de..3.. , , soulignant que « ce n’est pas avec la police que l’on éteint les brasiers sociaux »
Avez vous lu le projet de réforme de l’hôpital ( la loi Bachelot dans le jargon politico-journalistique )? Moi pas. Comme sans doute 99,99% des français. Et pourtant, France Bleu,une radio de service public nous assure que 75 % des Français sont opposés à cette réforme ! Ouah! La seule chose que j’avais observée, néanmoins, était que le mandarinat hospitalier et son ghota, massivement de droite, était vent debout contre. Pourquoi? La perte de son pouvoir au profit de celui de directeurs enfin dotés, petitement tout de même ( voir l’excellent papier de J. de Kersvadoué dans le Monde ), d’une véritable autorité gestionnaire.Un mouvement d’essence corporatiste donc, de droite et pourtant soutenu par toute la gauche sous le couvert du refus d’une gestion comptable de la santé. Un cadeau politique pour Sarko qui vient de déclarer aujourdh’ui même, lors d’une table-ronde: » Nous avons fait du président des médecins le numéro 2 de l’hôpital en le mettant systématiquement vice-président de l’hôpital (…) je crois que nous avons trouvé un bon équilibre, nous n’irons pas plus loin « . Parions que demain tout rentrera dans l’ordre, et que 80% des français se déclareront satisfaits de cette réforme de Nicolas dans celle de Roselyne. Ainsi va l’opinion… Vagabonde et crédule…
A Montpellier, des musulmans se font les avocats d’une laïcité conséquente contre une municipalité socialiste prétendument républicaine. Comme le souligne Le Monde du 8 mai:
« La particularité de la situation de Montpellier tient à la personnalité de celui qui fut longtemps son maire, Georges Frêche, qui a toujours été hostile à ce que les musulmans possèdent leur lieu de culte. A deux reprises, le projet de construction d’une mosquée, financée par les dons des fidèles, lui a été présenté. A chaque fois, en 1995 et en 1999, M. Frêche a fait préempter les terrains. »