Monsieur Méric préside le Conseil Départemental de la Haute Garonne. Il est socialiste… et républicain. La preuve ? Il fait de son institution et de son « hôtel » , en ce jour de fête nationale, un restaurant ouvert à ses habitants. Boissons et repas sont offerts , évidemment !
Les deux vieux-partis anciennement dits de gouvernement, sont engagés dans un processus de démembrement qui va aller bien au delà du simple transfert de groupes de personnalités de droite et de gauche vers la majorité présidentielle. Ce qui se prépare sera de plus grande ampleur et va modifier durablement l’offre politique nationale.
Jeudi 6 juillet. Leucate village, à la terrasse du 35 bis, avec Michel Arcens pour notre déjeuner estival. Un rituel qui, entre Perpignan, où il réside, et Narbonne, nous réunit chaque été, depuis trois ans déjà ! Un léger vent venu de la mer et notre table à l’abri du soleil créaient d’idéales conditions pour ce moment de partage amical. La présence discrète d’une clientèle étrangère ajoutait au tableau une touche de vie sociale exotique. Je ne sais pourquoi, une certaine nonchalance générale peu-être, donnait à cette jolie petite place un petit air d’Italie…
Paul Alliès*, dans un article publié à chaud dans son blog quelques heures seulement après le discours du Président de la République devant le Congrès, n’en revient toujours pas ! Ce proche d’Arnaud Montebourg, après qu’il eut donné une petite leçon à ceux – surtout à ses amis de gauche et du PS en particulier – qui contestaient à Emmanuel Macron le recours à l’article 18 de la Constitution, au prétexte « d’humilier le premier ministre » ou « d’opérer un coup d’État institutionnel » (1), note d’abord, ce qui n’est pas rien dans le contexte d’une parole politique aujourd’hui dévaluée, que ce qu’avait dit celui qui n’était alors qu’un candidat la présidentielle, lors de son dialogue à Mediapart le 5 Mai, notamment, sera tenu (2).
Pantalonnades narbonnaises, suite ! Avec cette fois-ci l’inénarable maire de Mailhac en première partie d’une farce politique mise en scène par ses soins lors de la dernière réunion du Grand Narbonne. Fidèle à la notoriété qu’il doit à Nicolas Canteloup qui fit se tordre de rire la France entière de ce candidat à la présidentielle en 2007, Gérard Schivardi a donc fait, comme d’habitude, le pitre. On peut se demander d’ailleurs s’il n’est pas devenu prisonnier de son image !