L’imposture des « discours du peuple » et de l’indignation morale…


Macron use souvent dans ses discours ou ses interventions sur divers plateaux médiatiques de l’expression « en même temps… ». Formule qui lui est souvent reprochée, sur le ton de la dérision ou de la critique. Elle serait pour ses détracteurs la marque d’une pensée hésitante, molle, qui ne reposerait sur aucun principe.  Comme si rappeler qu’une réalité historico-économique, sociale, culturelle ou politique ne se résumait pas à une proposition simple, univoque, dans sa définition, son contenu, comme dans les moyens de sa transformation, était un défaut de méthode intellectuelle.

En mémoire de mon grand père et de ses amis narbonnais de détention à Buchenwald…


Le dernier dimanche d’avril est chaque année dédié à la célébration de la mémoire des victimes de la déportation dans les camps de concentration et d’extermination nazis lors la Seconde Guerre mondiale. Étonnamment, peu d’articles pour le rappeler dans la presse.

Sous Marine Le Pen, qui parle ?

Le croquis de la semaine de Denis Carrière :  
 
 

Vous pouvez agrandir l’image en cliquant dessus. Tous les croquis et caricatures de Denis sont disponibles en cliquant sur Denis Carrière, en rouge, en haut et à gauche.

 
 

Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à le partager ! Et n’hésitez pas non plus à lire aussi les autres articles proposés ci-dessous !

 

Dans l’Aude, quel paysage politique aux législatives de juin dans les trois circonscriptions ?

Illustration France Info (ici)


Le Monde publie une infographie très intéressante qui donne une idée de ce à quoi pourrait ressembler le paysage politique audois au soir du 18 juin. Avec quatre blocs très proches en nombre de voix au premier tour de la présidentielle – En marche ! (EM) le Front national (FN), Les Républicains (LR) et La France insoumise (FI) –, même avec 40 % d’abstention, en « projetant » les résultats du premier tour il pourrait y avoir trois triangulaires – 82 triangulaires en France ! Des triangulaires qui sont le moyen pour le Front national d’accéder à la victoire sans avoir besoin de plus de la moitié des voix.

Mélenchon – et pas que ! – et sa stratégie du «pire»…

 

Jean-Luc Mélenchon © Sipa Press dans l’Opinion (ici)

 

Mélenchon ne dira pas ce que sera son vote avant le 7 mai. Contrairement à son «appel» de 2002, il ne fera donc pas barrage au FN et à sa candidate d’aujourd’hui. Pas de «front républicain», est son nouveau mot d’ordre ! La seule consigne officielle de vote exprimée jusqu’ici émane du petit cercle de ses proches collaborateurs : pas une voix à Marine Le Pen.

Articles récents