Cinéma à Narbonne : le jeune cinéaste Malquier attend la livraison des caméras. | Contre-Regard.com
Le croquis de la semaine de Denis Carrière : « Cinéma à Narbonne : le jeune cinéaste Malquier attend la livraison des caméras. »
Le croquis de la semaine de Denis Carrière : « Cinéma à Narbonne : le jeune cinéaste Malquier attend la livraison des caméras. »
De retour d’Aurillac, la capitale du parapluie, avec une troisième défaite dans les bagages, les nouveaux dirigeants du RCNM ouvrent à présent les leurs. Ce serait la faute de R. Elsom ! Il aurait laissé le club en ruines … Sauf que, indépendamment d’autres raisons, ce sont bien les « sponsors narbonnais » qui, en retirant leurs « billes », ont acculé les « Australiens » a une augmentation de capital pour en prendre la majorité et s’assurer ainsi la direction du club.
La politique est un territoire magique peuplé de chamanes aux pouvoirs mystérieux. Sous des aspects parfois inquiétants ils dirigent des tribus, élaborent et conduisent des rituels, guérissent par la parole et des actions psychiques directes les membres de leurs « sociétés ». Le chaman politique est aussi doté d’une perception extra sensorielle du monde : télépathie, prescience, vision à de grandes distances, divination… en tant que psychopompe, il relie même le monde des morts, l’au-delà, à celui des vivants par une série de transformations personnelles. Les faits et les chiffres aussi n’ont plus de sens. Ils ne sont plus que des symboles transformables dans une perspective thérapeutique : maintenir la cohésion du groupe.
C’est en lisant le papier de Laurent Dubois – en lien en cliquant sur (ici) –, que j’ai appris le beau coup – économique et financier – réalisé par le groupe Baylet . Il vient de remporter en effet un marché à 4 millions d’euros, pour la publication du journal de la Région présidée par Carole Delga , et vice-présidée par madame Pinel – qui vient de succéder au ministre des collectivités locales J.M Baylet à la tête du PRG .
Eh bien, j’entre moi aussi dans l’arène, puisqu’on ne peut échapper à cette polémique virale autour et sur la petite phrase lancée par Nicolas Sarkozy, lors d’une réunion publique à Franconville : «Dès que l’on devient français, nos ancêtres sont gaulois ». Un déferlement de critiques que j’avoue ne pas comprendre, tant elles ne reposent sur rien de sérieux, sinon sur la seule certitude que l’ancien Président serait un histrion, inculte et grossier; qu’il flatterait les plus bas instincts – entendait racistes – d’un peuple en perte de repères symboliques.