On ne le dit jamais assez, ou bien trop rarement, les États aussi sont en concurrence; et leurs performances conditionnent celles de leurs entreprises. Plus leurs charges de fonctionnement et sociales pèsent dans leur production de services publics – ou considérés comme tels – plus leurs prélèvements sur la richesse produite et les revenus des entreprises et des ménages est élevé .
Jean-Claude Juncker a réagi mercredi aux attaques dont il fait l’objet depuis les révélations du « LuxLeaks »… Une vaste enquête journalistique a démontré que le Luxembourg était un véritable paradis fiscal. Entre 2002 et 2010, environ 340 multinationales ont pu négocier des taux d’imposition extrêmement bas, parfois inférieurs à 1% de leurs bénéfices. Or le nouveau président de la Commission a été Premier ministre du Grand-duché pendant 18 ans.
L’élection à la présidence du Parlement de la Mer, dont le vote aura lieu ce jour même, 12 Novembre, dans les locaux de la Région Languedoc-Roussillon à Montpellier, ne devrait pas échapper à Didier Codorniou.
Cette instance, si elle n’a aucun rôle opérationnel, représente néanmoins pour le maire de Gruissan , dans sa stratégie d’émancipation totale et définitive du PS, il vient de rejoindre le PRG, un formidable atout pour les échéances électorales à venir.
Les évènements de cette fin de semaine m’ont emmené à m’intéresser au livre de Lhomme et Davet. N’exagérons pas! À sa seule page de couverture. On ne peut pas la louper! Et là, devant mon nez, mystère et boules de gomme, une énormissime faute d’orthographe. Je tourne autour de cette « scène de crime » en essayant de comprendre la raison de cette horreur grammaticale, et n’y arrive pas. Aucun indice linguistique, rien… Cela dit , je vois bien que trois fois quatre et une lettres font une belle image spatialement bien équilibrée. De surcroît d’un jaune de mauvais augure, et sur fond noir comme posées sur un catafalque, elles créent un effet des plus morbide qui désignent un professionnel du genre. Je pense alors évidemment, suis-je sot, à l’ « Omar m’a tuer », qui, jadis, fit les gros titres des chroniques judiciaires de médias toujours par le sang excités. Et d’un vrai meurtre et d’une vraie faute qui désignait un prétendu coupable, Lhomme et Davet en ont donc fait un « argument » publicitaire canon, un « coup » marketing à une balle. Que nous serions censés admirer? Mon pauvre Omar, cette fois ci, avec leurs mots, ils t’ont vraiment « tuer »…
Me 12.3.2025 Il me fait un petit signe de tête. Nous faisons quelques pas sur le même trottoir, l’un vers l’autre. Sa démarche est incertaine. Il lance ses jambes en avant et ses bras sur le côté […]
Di 9.3.2025 Au Théâtre + Cinéma – scène nationale Grand Narbonne. Langage(s) Sur scène, les quatre musiciens du Quatuor Parisii et la comédienne Emmanuelle Devos. Une table de lecture pour […]
Sa 1.3.2025 « Presque rien. Comme une piqûre d’insecte qui vous semble d’abord très légère. Du moins c’est ce que vous vous dites à voix basse pour vous rassurer. […]