Tous les matins, je prends connaissance de la presse locale la peur au ventre. Tous les jours ou presque, elle m’informe, et m’effraie, sur les menaces que j’encours à vivre ici sous l’invisible faux d’une monstrueuse camarde.
La bêtise, l’ignorance et la violence roulent souvent ensemble. Sa couleur ? Le jaune ! Celui de motards ou d’automobilistes qui ont détruit, incendié ou dégradé sur les routes de France, ou mis hors de service 2.250 radars. Un vandalisme légitime, expliquent nos motorisés : le contrôle de la limitation de vitesse ne servirait qu’à remplir les caisses de l’État. Ce serait du « racket fiscal ». Absurde ! Qu’en est-il réellement ?
Alain Perea, le député de la deuxième circonscription de l’Aude, a présenté ses vœux, hier, « devant un parterre confidentiel » d’élus et de représentants de divers « corps constitués ». Je n’y étais pas et ne peux donc me référer, pour en rendre compte, qu’à ce qu’en rapporte, ce matin, la journaliste invitée du quotidien régional l’Indépendant. Une observation d’Alain Perea a particulièrement retenu mon attention :
Le grand débat a été officiellement lancé par trois rencontres entre le président de la République et des maires. La dernière en date l’a conduit devant des Gilets Jaunes dans la Drôme. Dans ces exercices, jamais entrepris par un Président de la République, sous la cinquième République – soit dit en passant – , Emmanuel Macron, s’est exprimé et s’est engagé à tirer les conséquences pratiques des propositions qui ne manqueront pas de s’exprimer sur les divers sujets exposés dans sa lettre aux français. Une initiative politique inédite et très révélatrice des difficultés structurelles de notre démocratie.
Julien Denormandie a annoncé, le 21 janvier à Pierrefitte, l’envoi imminent d’une circulaire aux préfets visant à « accélérer » les procédures judiciaires contre les marchands de sommeil et à instaurer un magistrat référent au sein des pôles de lutte contre l’habitat indigne.
La pluie tombait. J’étais près de la fenêtre. La rue était vide. Des feuilles mortes couvraient la chaussée, mouillées. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Lu ce matin dans « L’Opinion », un papier très juste d’Antoine Oberdorff. Ce qu’il décrit n’est pas une colère.C’est une convergence. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]
Premier dimanche de Hanouka.Sydney. Une plage.Plus d’un millier de Juifs réunis pour allumer la première bougie.La lumière. Les chants. Les enfants. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime […]
Sur mon fil d’actus Facebook. Lu ce matin cette révélation : nous vivrions dans un « patriarcat acoustique ». Rien que ça. Quinze ans de retard, mais toujours la même ardeur pour débusquer le […]
Le mantra de Gédéon était simple, brutal : « S’il y a des problèmes avec la police, c’est parce qu’il y a des policiers. » Il en avait fait son programme. Un jour, il ferait tomber l’édifice, et son […]