L’ex-député et maire PS de Carcassonne, Jean Claude Pérez, à l’assaut de ses ex-camarades !

C’est un ami carcassonnais qui m’a incité à lire l’entretien accordé par Jean Claude Pérez à Laurent Rouquette, publié dans l’Indépendant, mercredi dernier. Il valait le détour, c’est vrai. On s’en souvient, peut-être, le Jean-Claude en question fut maire socialiste de Carcassonne (2009-2014), avant que les électeurs ne l’envoient sur les bancs de l’opposition ; député (1997-2017), jusqu’à ce que les militants de son parti lui préfèrent quelqu’un d’autre – envoyé au tapis lors des dernières élections ; et candidat malheureux à un siège de conseiller régional, qui, par ses mêmes « amis », lui fut refusé.

Dans ma petite ville, on pratique aussi le culte du « grand homme » et la lècherie « militante »…

   

Il y a des jours, comme aujourd’hui, où le hasard vous fait « tomber » sur l’expression la plus basse de la flagornerie militante, au point de douter jusqu’à l’équilibre moral et intellectuel de ceux qui complaisamment la diffusent, l’approuvent et la « likent », sur les réseaux sociaux, notamment.

De l’usage des prénoms, entre insertion et distinction…

     

Cette histoire de prénoms, qui témoigneraient de la volonté de ceux qui les donnent de s’intégrer, ou pas, – leurs enfants avec – , à la communauté nationale : son histoire, sa culture, sa langue … , a provoqué un vacarme médiatique d’une intensité telle que la moindre remarque aux propos indignés – surjoués – des deux protagonistes à l’origine de cette  controverse  ne peut hélas se faire entendre. 

Oui, la Salle Multimodale et le Parc des Expositions devraient être gérés par le Grand Narbonne…

   

Plus on se rapproche des élections municipales, plus la réflexion collective, au sein du conseil communautaire de l’Agglo, comme chez les élus de la Ville de Narbonne, semble progresser. Jeudi soir, par exemple, Bertrand Malquier, le premier adjoint de Didier Mouly, a lancé un appel en faveur de  » l’intelligence collective  » en exprimant le souhait de  mutualiser la gestion du Parc des Expos – de compétence Grand Narbonne – et de la future salle multimodale – voulue, financée et gérée directement ou indirectement par la Ville.

Le tourisme de masse concourt à l’enlaidissement physique et sonore du monde…

     

     

Les touristes sont venus plus nombreux encore que l’année dernière dans le coeur de ma petite ville ; et nos élus de vanter l’excellence de leur politique d’animation et le bénéfice économique en résultant. Je pourrais discuter de cela, doutant des deux, mais mon humeur m’incite aujourd’hui à voir les choses autrement.

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